Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !
23 Juin 2017
Finalement, il n’y a pas que les conflits armés, les maladies sexuellement transmissibles ou autres phénomènes qui déciment le monde. Certes, on considère aussi la guerre de communications comme arme dangereuse et justement les mots comme dit Jean-Paul Sartre,l’écrivain français «ressemblent à des pistolets chargés ». Cela montre effectivement bien qu’il faut se méfier de beaucoup de choses et notamment des paroles, des verbes ou des messages qui sortent de la bouche de l’Homme. Juste en écoutant cela, on a la peur au ventre. Mais, là où la peur devint encore très élevée atteignant ainsi la hauteur du cèdre du Liban, lorsque l'on attend que cette même bouche de l’Homme qui sort parfois des mots venimeux capables d’asphyxier sa victime, est en mesure d’avaler des substances très dangereuses, dont leur consommation peut automatiquement nuire à la vie privée d’une personne. Faites donc attention ou vigilance oblige ! En effet, on peut bien manger de la bonne nourriture, tout comme on peut avaler des mauvais aliments. De même, on peut bien sortir des bons mots à la manière d’un bon poète capable de faire distraire tout un peuple et logiquement on peut aussi être professionnel d’une démagogie assassine ou tout simplement lier une amitié avec le prince de ténèbres et conclure ainsi un contrat à durée indéterminée. Cette information ci-après va de pair avec ce qui a été dit ci-dessus et donc en termes de conseils, tout est à prendre au sérieux ou en compte du plus petit de fourmis au plus gros des animaux de la planète, dans ce monde qui fonctionne souvent en éclipse. Et alors, ce qui devait arriver arriva ! Donc, l’Agence France-Presse rapporte que le marché mondial des drogues « prospère », constate l’Organisation des Nations Unies(Onu).
De prime à bord, l’AFP s’inquiète dans son commentaire que la situation des États-Unis est particulièrement préoccupante : la quantité d’héroïne saisie y a « fortement augmenté en 2015 », selon le rapport qui parle d’une « véritable épidémie » de consommation combinée de médicaments opiacés sur ordonnance et d’héroïne. Tout au début du commentaire de l’AFP, avec une production de cocaïne et d’opium en hausse, un développement des drogues de synthèse, une hausse de la mortalité liée aux opiacés, notamment aux États-Unis, le marché mondial des drogues « prospère » et « se diversifie », constate l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC).Dans un entretien choc avec Yuri Fedotov, directeur de cette organisation installée à Vienne, qui publie son rapport annuel, l’AFP informe que si « récemment l’attention s’est portée sur les menaces que faisaient planer la méthamphétamine et les nouvelles substances psychoactives (NSP), il ne faut pas oublier que la fabrication de cocaïne et d’opioïdes est en hausse ».
L’AFP commente qu’après avoir longtemps diminué, la culture de coca a augmenté de 30 % entre 2013 et 2015, principalement en Colombie, premier producteur mondial. La consommation semble également à la hausse aux États-Unis, comme en Europe où « l’analyse des eaux usées de certaines villes signale une augmentation qui aurait été de 30 % ou plus entre 2011 et 2016 ». L’expansion et la diversification des drogues de synthèse, tendance lourde de ces dernières années, se poursuivent, mais « le marché reste dans l’ensemble de taille relativement restreinte par rapport aux marchés » des drogues traditionnelles. Yuri Fedotov ajoute aussi que ces drogues traditionnelles « restent très préoccupantes, et la crise des opiacés ne donne pas vraiment de signes d’apaisement ».
Ahmat Zéïdane Bichara