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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Conflits infos : Ce qui sort de chez vous

Sur internet la RTBF avec Agences  rapportent depuis du 2 novembre 2018 qu’en : « Chine : une passagère gifle le chauffeur, l’autobus tombe dans le fleuve. L’accident s'est produit dimanche dernier à Chongqing, une municipalité du sud-ouest de la Chine. D'après des images de la caméra de surveillance du bus diffusées par les autorités locales et plusieurs médias chinois, c'est un échange de coups de poing entre une passagère et le chauffeur du bus qui serait à l'origine de la chute du véhicule dans le fleuve Yangtsé. Alors qu'il roulait sur un pont, l'autobus a subitement quitté sa trajectoire avant de percuter une voiture et de basculer dans le fleuve, 70 mètres plus bas. Le bilan est très lourd, 15 passagers du bus ont perdu la vie ». 

Sur internet le porte-parole du ministère des Affaires étrangères l’ancien journaliste Béchir Issa Hamidi eut annoncé dimanche 04 novembre 2018 que : « L’ancien ministre des Affaires étrangères, Acheikh Ibni Oumar rentre au pays après plus de deux décennies d’exil. « Le choix de la lutte armée n’était pas le bon. Mais il n’y a pas de regrets», disait, il y a quelques mois l’ex-maquisard dans le journal l’Union de Reims, ville où le mathématicien résidait. Celui qui fut ministre à 28 ans dans un gouvernement de transition confessait que « le maquis est plutôt une bonne école. Ça se joue à l’instinct, aux intérêts, à savoir quand il vaut mieux s’affronter ou privilégier un compromis… Les politiciens ont les mêmes réflexes que les chefs de bande armée ! »

Une réaction par rapport au retour au bercail de monsieur Acheikh Ibni Oumar venant de la part d’Abdoulaye Dor Brahim qui pense que : « Ce qu’il faut noter, certes le Système auquel il s’était opposé n’a rien diapré et encore une vision politique reluisante, mais l’exil n’a jamais été aussi, quel que soit le pays où l’exilé élit domicile, séraphique, ni édénique. 25 ans d’exil, une solitude idéologique forcée, loin de siens, c’est l’acmé de courage et c’est à saluer. Bon vent à lui ! »

Toujours sur internet, Pascal Mayanga eut publié depuis hier un article de la présidence de la République du Tchad, titré « Acheikh Ibn Oumar « l’exil politique est une anomalie ».Apparemment, c’est la déclaration de cet homme qui retourne au bercail après 25 ans d’exil politique, plus particulièrement en France. Voici les écrits qu’on retrouve depuis hier dimanche 04 novembre sur internet :« Monsieur Acheïkh Ibn Oumar vient de regagner le bercail ce 04 novembre 2018, après 25 ans d’exil politique. Ce retour fait suite à l’amnistie générale décrétée par le Chef de l’Etat Idriss Deby  après la promulgation de la loi fondamentale du 04 mai 2018.Il a été accueilli à l’aéroport international Hassan Djamouss par le ministre de l’Administration du territoire, de la sécurité publique et de la gouvernance locale, monsieur Ahmat Mahamat Bâchir qui avait à ses côtés, le Directeur de Cabinet civil adjoint du Président de la République, monsieur Brahim Mahamat Djamaladine. Parents, amis et connaissances de l’ancien chef de la diplomatie tchadienne ont également fait le déplacement de l’aéroport international Hassan Djamouss de N’Djaména pour lui souhaiter un bon retour parmi eux. Livrant ses premières impressions à la presse nationale au parvis du salon d’honneur, Acheïkh Ibn Oumar précise que « l’exil n’est pas un métier ni une vocation, peut être parfois pour des raisons professionnelles ou académiques. Mais l’exil politique est une anomalie, une exception. La place normale de tout homme politique, citoyen soucieux de l’avenir de son pays, c’est d’être au sein de sa société mais les circonstances imposent ce genre de situation. Donc, pour moi, c’est juste un retour à la normale, un retour à la maison auprès des parents, des amis de jeunesse, des collègues et certains de mes maîtres qui n’ont formés à l’école ou à l’école de la vie. Certains survivent encore, Dieu merci. Mais, je vais vous laisser sur votre faim, parce que je suis un peu dépassé par l’émotion donc, je ne peux parler davantage ».

Publié hier dimanche 04 novembre 2018 sur internet, les écrits de madame SO NDilmbaye abordent un sujet assez délicat, mais très intéressant. Selon SO NDilmbaye : « Accepter d'apprendre, de se corriger, de s'instruire, de se reprendre en main ... C'est tout simplement refuser de mourir bête et ignorant. Tout ne s'apprend pas qu'auprès des nôtres, la société peut contribuer efficacement également à notre éducation mais la base essentielle doit être acquise dans le cocon familial, un préalable pour éviter de se faire dérouter par les mauvaises fréquentations. Un homme/une femme mal-éduquée, est un danger pour la société, voire une pollution pour son environnement. Et l'éducation doit commencer dès la naissance : il y a des habitudes qu'on donne à un enfant, des petits détails insignifiants qui peuvent à la longue forger en lui des caractères dominants à l'âge adulte. Sachons inculquer des vraies valeurs à nos tout-petits, ils sauront s'en souvenir. Eduquer un enfant est l'un des devoirs obligatoires pour un parent pour une société responsable et un environnement sain ».

Sur internet, Ali Adam Yeré eut décidé de nous faire lire une histoire racontée par un humoriste Tchadien : « Hier était le jour le plus triste de ma vie. Je suis arrivé à l'aéroport pour prendre un vol pour N'Djamena sur New York. Soudain, j'ai vu une femme âgée se plaindre de son téléphone volé. Je suis allé près pour voir si je pouvais aider. Immédiatement elle a vu mon téléphone, elle a dit à la foule que c'était son téléphone qui était un iPhone 5. Pendant un moment j'étais tellement surpris, choqué et tellement confus. Elle a tenu et m'a giflé. La foule a tenté de me battre, mais heureusement, un policier est entré en scène. Il a demandé ce qui se passait, j'ai expliqué avec des larmes sur mon visage. Le policier a demandé à la femme d'appeler son téléphone. Elle a appelé et une fille a pris, apparemment c'était sa fille; "elle a dit maman tu as laissé ton téléphone à la maison quand tu partais en ville" Les larmes coulaient d'autant plus de mes yeux parce que j'avais déjà été disgracié. Le policier a dit à la femme de s'excuser, la femme a sorti son chéquier et a écrit un chèque de 5,5 millions de dollars US et a voulu me le remettre soudainement mes yeux se sont ouverts et je me suis levé de mon lit et suis allé uriner. S’il vous plaît, j'ai besoin de vos conseils, devrais-je retourner dormir ou aller à l’aéroport pour voir si un miracle m’attend ? Je sais que vous souriez ».

Sur internet et de façon exceptionnellement on retrouve ces longs écrits publiés depuis hier dimanche 04 novembre 2018 par Abdou Hamdane qui s’identifie depuis le Soudan comme un ex et futur rebelle. Il titre ses écrits : «  Ma vérité intégrale ».Ainsi croit-il : « Pour qu'il y ait paix, il faut qu'il y'a d'abord guerre. Et pour qu'il y ait réconciliation, il faut qu'il y'a résolument vérité. C'est cette vérité là que cherchons depuis déjà des décennies. Et, lorsque nous disons tel a fait telle chose, c'est pour le ramener à renoncer au mauvais et d'être un citoyen responsable. C'est ça la logique de notre combat contre le régime IDI lequel refuse délibérément d'entendre et écouter la voix de la vérité. Sinon,sinon nous n'avons et ne gardons aucun dent ni contre les Gouranes ni contre les Zakhawa ou n'importe quelle autre ethnie. Il eut des jeunes braves de ces deux ethnies avec lesquels nous avons passé ensemble des moments durs dans le FUC, l'UFDD, l'UFR à combattre ensemble Deby et mourir sous ses balles : certains ont perdu leurs vies, d'autres vivent dans l'exile pendant que d'autres comme nos ex camardes humiliés à Moussoro jonchent aujourd'hui les carrefours de la capitale à contempler et à capitaliser les biens des Itno et leurs complices de tout bord.

Si vraiment nous sommes séparatistes comme les disent les commentateurs du régime, alors que dirons nous donc, à notre tour, a nos frères d'armes issues des ces ethnies. Ils sont morts en complices ? Non, gloire à ces jeunes morts arme à la main. Cependant, dans ce cercle vicieux de l'Intocratie , il n y'a pas seulement les Itno , il y'a des Toubou, des Anakaza, des Arabes, des Kreda, des Sara...lesquels n'ont hésité pas un seul instant à combattre les leurs : tantôt avec des balles réelles tantôt en perforant des injures et autres dénigrements contre eux.. Mêmes eux aussi refusent d'écouter la voix de la vérité. D’où, va aussi notre autre combat contre l'injustice. Et non contre une personne donnée, soit- elle du BET.C'est ça intégralement notre vision intégrale de la politique intégrale du président intégral. Et là, elle doit être acceptée comme telle (intégrale )pour relever le défis de l'esclavagisme intégrale, du suivisme intégral, de l'ethnicité intégrale ...Bref , tout ce que je demande aux intellectuels du BET, c'est de jouer à la prudence . Prudence de ne pas tomber dans le piège du régime .Prudence surtout avec l'apparition de la nouvelle rébellion du Nord laquelle se voit majoritairement composée d'eux seuls. C'est là où elle doit absolument soigner son image pour ne subir le sort de sa défunte sœur de l'est.

 Deby est capable de tout. Nous sommes passés par là. Notre constat part raisonnement des faits dont nous avons déjà vécu : hier: lorsque la rébellion était vive à l'est du Tchad, Deby avait utilisé en premier lieu nos frères arabes pour disloquer et dissuader leurs frères et en deuxième lieu, il a recruté massivement les Gouranes Naorma, les Kamadja, les Dadjo, les Zakhawa Kobé pour stopper « l'esclavagiste arabe «  (c’est comme ça que Deby présentait les arabes devant les autres).Il pensait, malgré le soutien des Soudanais à Mahamat Nour , Abdelkrim, Mahamat Nourri, Timane Erdimi , que les arabes prenaient' le pouvoir , d'où postes, argents, grades étaient leur distribués sans compter. Finalement dès qu'il a eut la paix avec le soudanais Elbeshir, ils le a tous jeté comme des kleenex : Arabes et non arabes. Certains se sont vus en prison pendant que d'autres sont automatiquement démobilisés... Bref, une humiliation. Aujourd'hui, ils marchent en tête baissée. Mais, il s'est retourné vers la nouvelle race des griots arabes pour lui faire la propagande (j’y reviens).Par contre, aujourd’hui est venu le tour des Kreda et Toubou. D'où l'ingénieur, le Député, le commerçant deviennent des Généraux. Et, les autres arabes, Boulala, Zakhawa ,Gouranes se recrutent pour stopper cette fois le nouveau « l'esclavagiste et le tortionnaire Gourane ».Voilà en gros notre part de vérité intégrale pour une lutte intégrale. Celle de dire à vos frères d'être prudent pour ne pas nous perdre le sens du combat en s'affichant torturer et humilier nos parents. A moins que vous m'éprouviez qu'ils sont du régime ».

Sur internet Makaïla NGuebla eut publié depuis hier dimanche 04 novembre 2018 en annonçant : « Situation confuse au Tibesti dans l’extrême nord de son pays le Tchad. C’est un communiqué de presse  N°20/ALNAR/2018 de l’Alliance Nationale Républicaine AlNAR signé du président du Parti Acheikh Abdallah Mahamat . Voici ce que dit le communiqué de presse que l’on retrouve donc sur internet : « Le parti Alliance Nationale Républicaine (ALNAR) informe l’opinion nationale et internationale que la situation dans la région de Tibesti est très confuse et floue. Le parti ALNAR demande l’arrêt immédiat des hostilités et l’ouverture d‘un dialogue inclusif pour trouver une porte de sortie de la crise qui sévit au Tibesti afin de sauver la vie de la population autochtone avec leurs biens. Le parti ALNAR fait cet appel au nom de l’humanité, de la justice et de la paix. Il demande aux ambassadeurs de la paix, aux comités des sages, les conseillers du Président Idriss Deby, les partis politiques et aux forces vives de contribuer pour la restauration d’une paix durable dans le Tibesti et au Tchad en général. Le dialogue reste la seule voix de sortie de cette crise ». 

Enfin Makaïla NGuebla revient avec une autre nouvelle pour boucler la boucle en publiant dimanche 04 novembre 2018  grâce à son correspondant à N’Djaména la Capitale tchadienne sur internet cette information sur : « Mois du livre et les ratés du ministre de la Culture Madeleine Alingué.Lancé hier à la Bibliothèque Nationale sans mobilisation du public, le mois du livre et de la lecture bat déjà de l'aile et risque de s'arrêter à cause du comportement, dit-on, peu coopératif de la ministre de la Culture Madeleine Alingué. D'ailleurs le programme est sorti le même jour de l'ouverture du mois, preuve de l'amateurisme de Madeleine Alingué qui ne connaît rien en administration culturelle mais s'immisce dans tout. Ce samedi 3 novembre, la conférence de Koulsy Lamko venu du Mexique a dû être ajournée sans date parce qu'il n'y a pas de participants. Échec cuisant. Le ministre de la culture sinon le comité d'organisation n'associe pas la corporation des écrivains, ASEAT ni les grands noms de la plume en résidence au Tchad. Comme cela ne suffisait pas, même le livre de Palou Bebnoné qui allait être édité n'a pu sortir de l'imprimerie à cause d'une somme 700 mile franc CFA qu'elle a refusé de débourser. Mahamat Saleh Haroun,l'ancien ministre et initiateur de ce mois qui est à N'Djaména a simplement boycotté la cérémonie parce que l'équipe de Madeleine Alingué a internationalisé l'activité sans contenu subséquent. Elle va récolter son échec puis prendre son ticket de départ du gouvernement ».

Choix de la Rédaction 

 

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