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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Courriers positifs : Ce qu’il faut retenir.

«La vie est faite de choix : ou ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Certains choix comptent plus que d’autres : aimer ou haïr. Être un héros ou un Lâche. Se battre ou se rendre. Vivre ou mourir.Je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui  en douteraient encore...La vie est faite de choix. Vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement», déclare Grey’s Anatomy,le personnage principal d’un film fiction du cinéaste Drek Shepherd, abordant de façon sincère la question de responsabilité ou de l’utilité d’une décision, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Pour ainsi admettre précipitamment que tout acte ou toute action humaine est en principe née d’une décision mûrement réfléchie, comme on peut s'en apercevoir  à travers les quatre articles finalement tous utiles que vous eussiez trouvé ci-après sélectionnés minutieusement par la Rédaction pour sa rubrique Courriers positifs, signés respectivement Radio-Canada, Le Soir.Belgique et la RTL-info. Peu à peu, vous vous rendrez compte que même le bonheur provient d’une décision comme pense André Maurois quand il disait : «Le bonheur est une décision que nous prenons d’être heureux quoi qu’il arrive».De toutes les manières comme soutient Mhairie McFarlane, ajoutant pour mieux prendre conscience que tout est né d’une décision fructueuse ou improductive: «La vie est faite de décisions. Vous faites des choix ou on les fait pour vous, mais vous ne pouvez pas les éviter».Voilà, c’est bien claire et sage comme parole. Ne dit-on pas depuis fort longtemps : «qu’un homme avertit en vaut deux!». Bonne lecture à tous !

 

Sur le site de la Radio-Canada on retrouve depuis dimanche 24 février 2019 une information relative au défit que certains buveurs d’alcool se lancent pour l’abandonner en accordant une priorité à la consommation de celle qui est fabriquée sans alcool. Ainsi dans un article titré : «Défi 28 jours : quand la bière sans alcool à la côte, un commentaire assez dense et vrai est accessible, raconté en français facile  d’une manière assez simple à comprendre : « En février, plus de 10 000 Québécois ont laissé de côté leur boisson alcoolisée préférée pour relever le Défi 28 jours. Plusieurs d'entre eux ont malgré tout savouré une bière froide... sans alcool. L'engouement profite aux brasseurs qui estiment que leurs produits non alcoolisés ont désormais la cote à longueur d'année. Il y a à peine deux ans, la microbrasserie Le BockAle, à Drummondville, s’est lancée dans la production de bière sans alcool.Depuis, les ventes de ces produits ont connu une croissance soutenue. Elles représentent désormais 75 % du chiffre d'affaires de l'entreprise.Les études nous disaient que c'était un marché en très grande croissance, indique le copropriétaire, Michael Jean. On a décidé de revirer notre stratégie pour concentrer l'ensemble de notre marketing sur les bières sans alcool. On a développé plusieurs nouveaux produits. L’an dernier, en plein Défi 28 jours, Le BockAle a même été victime de son succès.

L’entreprise s’est retrouvée à sec; la demande était trop importante.On a été pris les culottes à terre, se souvient le copropriétaire.Cette année, il n’était pas question de vivre un autre problème d'approvisionnement. Dès le mois de décembre, la cadence de production a été accélérée afin de faire des réserves pour traverser le mois de février sans pépin.On s’attendait à un mois de janvier et février rock and roll et c’est vraiment ce qu’on a vécu. C’est certain que le Défi 28 jours n’est pas étranger à notre succès. Michael Jean, copropriétaire de la microbrasserie Le BockAle.Le pari a aussi été gagnant pour les commerces qui ont accepté de faire une place sur leurs tablettes aux différentes bières sans alcool du Québec et d’ailleurs.Il y a une semaine où j’ai été à sec. J’ai manqué de stock. Je me suis dit qu’il fallait réagir. Je pourrais estimer que j’ai probablement doublé mes ventes depuis le début de l’année pour ce type de bières, avance Émile Cardinal, le propriétaire du Vent du Nord, un commerce spécialisé en produits de microbrasserie.

 

Un autre constat s'impose : l’engouement pour la bière sans alcool ne se limite plus exclusivement au mois de février.Au BockAle, les clients sont au rendez-vous et pas seulement 28 jours dans l’année. Les ventes sont soutenues de janvier à décembre dans plus de 1500 points de vente au Québec.D’ailleurs, l’entreprise vient tout juste de signer une entente pour exporter ses bières dans les Beer Store ontariens.On croit dur comme fer à nos produits. Après l’Ontario, on vise le reste du Canada, lance Michael Jean.Une autre raison pourrait expliquer cette popularité. Le mythe de la bière sans alcool et sans saveur s’estompe peu à peu, croit Émile Cardinal. En plus d’être moins calorique, le goût est aussi au rendez-vous ce qui permet de diversifier la clientèle.À l’aveugle, pour des gens moins connaisseurs, ça peut même passer inaperçu. Donc oui, maintenant, ça se fait de la bonne bière sans alcool qui n’est pas insipide. Émile Cardinal, propriétaire du Vent du Nord.Le créneau du non alcoolisé reste encore peu développé au Québec, les joueurs sont peu nombreux, mais la compétition risque de s'accroître rapidement.Il y a assurément un créneau à développer, Le BockAle l’a déjà fait assez tôt. Je pense qu’il y aura de la place pour d’autres joueurs. Il va y en avoir de plus en plus, croit Émile Cardinal ».

 

Un article publié hier mardi 26 février 2019 portant la signature du journaliste de la Radio Canada Jean-Philippe Robillard et de Daniel Boily, oriente l’attention des internautes sur les techniques qui consistent à investir dans le recyclage du verre au Québec qui serait concluant. Ainsi les deux journalistes de la Radio-Canada rapportent que : «Dans un rapport attendu, EEQ estime qu’il est possible d’ici quatre ans de recycler 100 % du verre de la collecte sélective au Québec, y compris les bouteilles de vin et de spiritueux vendues par la SAQ. Une quantité d’environ 120 000 tonnes par année. Éco Entreprise Québec est un organisme privé à but non lucratif qui représente les entreprises qui mettent sur le marché notamment des contenants et des emballages. Selon EEQ, 23 millions de dollars additionnels sont requis pour équiper les centres de tri de la province. « Un montant de beaucoup inférieur à la mise en place d’un système de consigne », explique la PDG d'EEQ, Maryse Vermette.« On peut équiper nos centres de tri pour enfin avoir un bon procédé, avoir un verre de bonne qualité [...] C’est fondamental », ajoute-t-elle. Cette dernière s’appuie notamment sur les résultats de cinq projets pilotes réalisés dans les centres de tri durant 15 mois jusqu’en août 2018.

 

Durant cette période, le taux global de recyclage du verre des projets pilotes s’est établi à 73 %. De plus, le taux moyen de pureté du verre a atteint 88,6 % pour le verre de grande granulométrie et de 98,8 % pour le verre de granulométrie fine. Plus de 8 millions de dollars ont été investis dans ces projets pilotes afin de tester divers équipements importés d’Europe. Une période de rodage de six mois a été nécessaire et certains équipements ont nécessité des ajustements et modifications importantes compte tenu des conditions hivernales et de la présence de matières organiques, de papier et de plastique mélangés au verre. Malgré les défis liés à l’exploitation des équipements l’hiver, EEQ souhaite « apporter certaines modifications aux équipements au cours de 2019 […] et collaborera avec les centres de tri afin d’identifier des solutions techniques aux problèmes générés par la présence de fibres, de neige, de glace et d’humidité. Des études techniques de même que l’intégration d’équipements complémentaires sont prévues », lit-on dans le rapport. Autre constat mis en lumière par EEQ, des investissements majeurs sont nécessaires pour développer les marchés afin de recycler 120 000 tonnes de verre de la collecte sélective.EEQ évalue qu’il faudra « 27 millions pour la diversification et le développement des marchés, les campagnes de communication et de sensibilisation, ainsi que la mesure des résultats économiques et environnementaux ».De ce montant, 20 millions seront nécessaires pour créer des entreprises qui vont recycler et transformer le verre au Québec. « Ce sont des investissements pour mettre en place de nouvelles entreprises, de créer au Québec une industrie du verre».

Outre les marchés actuels pour le verre recyclé (abrasif et média filtrant, laine minérale, ajout cimentaire), on vise également la fabrication de bouteilles de verre, la production de poudre micronisée pour additifs et du verre cellulaire. A l’heure actuelle, il n’y a que trois entreprises qui conditionnent le verre au Québec.« Afin de contribuer au développement d’entreprises du secteur, EEQ a mandaté un consultant spécialisé afin de dresser la liste des différents fonds d’investissement existants au Québec et au Canada et les conditions pour accéder à ces fonds. »Éco Entreprise Québec demande également au gouvernement du Québec d’interdire progressivement l’utilisation du verre dans les sites d’enfouissement. « Pour nous, envoyer du verre à l’enfouissement est totalement inacceptable. Si on veut être en mesure de développer des marchés au Québec, il va falloir que graduellement on puisse aller vers une interdiction de l’enfouissement du verre », dit Maryse Vermette. Elle ajoute qu'« envoyer à l’enfouissement [du verre], c’est une forme de compétition pour le marché parce que c’est un montant qui est relativement peu élevé ».

 

«Le pharmacien de garde bientôt moins cher», informe le site d’informations générales Le Soir. Belgique, dont l’article fut publié hier mardi 26 février 2019 ,signé du journaliste Frédéric Soumois. En effet, dans cet article su journal numérique Le Soir.Belgique, il est clairement indiqué qu’il n’y aura : « bientôt plus de supplément à payer à la pharmacie le soir ou pendant le week-end pour une ordonnance médicale urgente. À l’heure actuelle, le patient paye parfois un supplément de 5 euros. Il s’agit d’un service important pour les patients dans des situations d’urgence. « Pensez aux personnes qui doivent aller en urgence chez le médecin le soir après le travail », explique la ministre de la Santé publique Maggie De Block. « Ils pourront ensuite se rendre à la pharmacie de garde pour leurs médicaments sans devoir payer de supplément.  ». Le texte qui permet cette adaptation a été adopté ce mardi matin en commission de la santé de la Chambre. Pendant une garde, les pharmaciens ne feront plus payer de supplément aux patients pour les médicaments sur ordonnance. « Sauf s’il s’agit clairement d’un cas qui n’est pas urgent  », ajoute la ministre De Block. « Si ce n’est pas urgent, il est préférable de les acheter pendant les heures normales d’ouverture. »Les pharmaciens recevront une compensation de l’État pour les gardes de nuit (de 22 h le soir à 8 h du matin). Le système actuel consiste en un honoraire de garde par médicament vendu. « Les pharmaciens de garde n’ont parfois aucun client pendant la nuit et ils ne reçoivent alors aucune compensation. Ce ne sera bientôt plus le cas », dit la ministre De Block. Pour 2019, un budget de près de huit millions d’euros est prévu pour les services de garde des pharmaciens ».

 

La RTL-Info depuis la Belgique rapporte grâce à l’information livrée depuis hier mardi 26 février 2019 par l’Agence France Presse(AFP) que les : «véhicules les plus polluants seront interdits de circulation à Paris et en proche banlieue aujourd’hui mercredi 27 février 2019 , en raison d'un nouveau pic de pollution aux particules fines attendu, a annoncé mardi la préfecture de police de Paris.L'interdiction de circulation, à l'intérieur d'un périmètre délimité par l'A86, concerne les véhicules non classés et les véhicules de classe 4 et 5 selon la classification des vignettes Crit'Air, obligatoires à Paris, a précisé la préfecture dans un communiqué. Entre 5H30 et minuit, seuls les véhicules de classe 0 à 3 pourront se déplacer dans cette zone.Airparif prévoit pour mercredi un niveau de concentration de particules fines supérieur au seuil d'information fixé à 50 µg/m3.Les concentrations en particules fines dans l'air en Ile-de-France avaient déjà dépassé mercredi, jeudi et vendredi ce seuil, grimpant même au-delà de 70 µg/m3, soit des concentrations intenses. Sans toutefois entraîner d'interdiction de circulation, ce qui a provoqué une polémique.

La maire de Paris Anne Hidalgo avait réclamé mardi la restriction de la circulation des véhicules polluants « dès qu'un pic de pollution survient » tandis que l'adjoint chargé des Transports Christophe Najdovski avait accusé les services de l'État de jouer la montre pour éviter d'avoir à prendre des mesures restrictives. « Le préfet n'a pas rien fait », a rétorqué mercredi le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, en accusant l'adjoint de faire « de la mauvaise polémique ».Dans son communiqué, la préfecture de police rappelle le maintien des « mesures déjà en vigueur » depuis la fin de semaine, notamment la réduction de 20 km/h de la vitesse maximale autorisée sur les autoroutes et les voies rapides en Ile-de-France. « Plus de 22.000 véhicules ont été contrôlés » pour faire respecter cette obligation, a précisé la préfecture, « et 6644 infractions ont été relevées ».Les autres mesures comprennent l'interdiction des feux de cheminée, la suspension des dérogations pour brûler des « déchets verts » à l'air libre et diverses « prescriptions particulières » pour le « secteur industriel ».Après le nouveau dépassement de seuil attendu mercredi, la situation devrait ensuite s'améliorer grâce à l'arrivée d'une perturbation selon Airparif ».

Choix de la Rédaction

 

 

 

 

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