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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Courriers positifs : Ce qu’il faut retenir

Ce qu’il faut retenir aujourd’hui 1er mai 2019 dans cette rubrique Courriers positifs, c’est la fête du travail. Partout à travers la planète, les travailleurs se reposent, car  dans certains endroits de la terre, la journée est décrétée chômée où pour beaucoup de personnes, c’est tout simplement la fête ou des moments favorables des retrouvailles et de partage entre amis ou collègues.Mais pour d’autres, c’est le temps d’exprimer son mécontentement contre un système politique n’agissant pas comme il le fallait avec tous les employés des secteurs publics ou privés. C’est le jour où beaucoup des organisations syndicales attaquent des malhonnêtes lois ou règles qui couvrent  parfois ou souvent d'une manière sournoise avec la complicité des Hauts responsables de la République des intouchables employeurs qui se croient finalement tout permis. Rien qu’en lisant la citation de J-L-M (retraité La vie, France 1956) on comprend très vite ce malaise qui règne souvent entre l’employé et son employeur : « Avant de parler du coût du travail, il faudrait savoir combien un salarié rapporte à son employeur ».La seconde citation provenant de la journaliste Edith Boukeu du Cameroun soulignant aussi cette lutte dure entre un travailleur et son employeur : « En vous mettant en retraite ,l’employeur vous laisse les mains libres ». Finalement faut-il travailler ou que doit-on faire exactement pour éviter des conditions insupportables ou la maltraitance à ceux-là qui ne vivent que de leur travail ? Et qu’est-ce que le travail nous rapporte-il ? Pour Jacques Dutronc : « Le travail paie dans le futur, la paresse elle paie comptant ». On a déjà une première définition assez satisfaisante. Si on tient la définir de façon assez simple on dira que les choses positives rapportent toujours des résultats positifs. En d'autres termes, pour vivre, il faut donc être toujours en mouvement, malgré qu’on subit des humiliations par des employeurs qui n’ont rien compris les bonnes leçons de la vie. Certains de ceux-là refusant même de reconnaître le rôle incontournable  et indispensable de l’être humain. Werner Bishof a bien su le résumer en quelques mots quand il estime que : « Seul n’a de valeur que le travail réalisé en profondeur, dans un engagement total, et dans une lutte où se livre tout entier ».En effet, comme soutient Aki Shimazaki Tonbo en 2010 : « Perdre son travail, ce n’est pas seulement perdre de l’argent, c’est aussi perdre sa confiance en soi et son but dans la vie ». Après ces deux citations, on comprend très rapidement le sens de la fête du travail et surtout du travail lui-même. Anatole France a aussitôt compris quand il eut cru que : « Le travail est bon à l’Homme, il empêche de regarder cet autre qui est lui et qui lui rend la solitude horrible ». Voilà, tout est dit en quelques minutes. Bonne fête du travail  à vous tous, en vous accompagnant surtout avec la sélection  par la Rédaction des articles ci-après!

 

Nous sommes donc en Europe en Belgique, pays au 49e au classement mondial du marché du travail le plus attractif,selon la parution de la RTBF avec l’Agence Belga d’hier mardi 30 avril 2019.Selon toujours ces deux médias belges : « La Belgique occupe la 49e place au classement mondial de la main-d'œuvre (Total Workforce Index) publié mardi par ManpowerGroup, qui compare les conditions d'embauche, de gestion et de rétention des collaborateurs dans 75 pays. Elle occupait le 25e rang lors de la première édition de ce classement en 2017 et a donc perdu 24 places.Selon le classement de l'année 2018, Hong Kong possède le marché du travail le plus attractif et devance la Nouvelle-Zélande, Singapour, les Etats-Unis ainsi que le Royaume-Uni.La Belgique occupe, elle, le 49e rang du classement mondial et le 31e (sur 40) dans la région EMEA (Europe Middle East & Africa), soit une baisse de respectivement 24 et 17 places en un an.Par rapport aux autres pays européens, elle se situe derrière l'Allemagne (15e), les Pays-Bas (21e), la Suisse (25e) et l'Espagne (32e), mais devant le Luxembourg (59e), l'Italie (64e) ou la France (67e).Pour établir son classement qui mesure l'attractivité des marchés du travail et de la main-d'œuvre, ManpowerGroup a analysé 90 critères-clés répartis en quatre catégories: la disponibilité des compétences, le coût du travail, le cadre règlementaire et la productivité. La disponibilité de la main d’oeuvre prend en compte la taille de la population active, le taux d’alphabétisation, le taux de chômage, la démographie, la formation, les connaissances linguistiques, les écarts de genre, etc.Le coût du travail prend en compte, notamment, le salaire mensuel moyen, les taxes sur le travail, le coût des heures supplémentaires, l’égalité salariale entre les hommes et les femmes, etc.La productivité évalue le potentiel de productivité de la main d’œuvre sur base de la durée journalière et hebdomadaire de travail, le travail de nuit, les heures supplémentaires, les congés payés, l’efficience du marché de l’emploi, les infrastructures, les connexions internet etc.Le cadre réglementaire mesure la facilité à engager ou licencier du personnel, l’impact des dispositions légales, les durées de contrats, les préavis ou les indemnités de rupture, l’âge de la pension. Ce critère prend aussi en compte les risques (terroristes, financiers etc), les contextes politiques, la lourdeur administrative. D'après Philippe Lacroix, managing director de ManpowerGroup Belux, ce recul s'explique moins par une baisse des performances de la Belgique que par la progression plus rapide d'autres pays, essentiellement en Europe de l'Est. « Sur un marché du travail devenu mondial, le coût du travail ou le nombre insuffisant de travailleurs disponibles en raison des pénuries de talents ou d'un taux d'activité trop faible continuent de peser négativement sur l'attractivité de notre pays », poursuit-il.Le rapport met toutefois en évidence la qualité de la main-d'œuvre en Belgique, avec notamment 46,5% de travailleurs hautement qualifiés (44,8% en 2017). Le pays occupe également la 31e place sur 144 au niveau de l'égalité homme-femmes sur le marché du travail ».

 

Toujours en Europe, mais cette fois-ci c’est au Pays-Bas  avec cette information  de la RTS-Sport qui rapporte depuis hier mardi 30 avril 2019, relative à la Ligue des Champions la victoire de l’Ajax qui pose un pied en finale.D’après la RTS-Sport :«  L'Ajax se rapproche de Madrid. Le club néerlandais est allé s'imposer 1-0 à Londres face à Tottenham lors de la demi-finale aller de la Ligue des champions.Après avoir vaincu le Real à Bernabeu en 8es de finale (4-1) et la Juventus dans son antre en quarts (2-1), l'Ajax a poursuivi son parcours impeccable loin de ses bases avec un succès mérité.L'ouverture du score est tombée de manière naturelle à la 15e minute grâce à Donny van de Beek. Parfaitement servi à la limite du hors-jeu, le milieu de terrain offensif néerlandais a fixé Hugo Lloris avec un sang-froid impressionnant. Presque inconnu au bataillon l'an dernier, van de Beek incarne l'insouciance et la jouerie de cet Ajax qui enchante l'Europe en 2019.Sans faire preuve d'une aussi grande maîtrise du jeu en deuxième mi-temps, les Néerlandais auraient même pu inscrire une deuxième réussite à la 78e. Mais la frappe du gauche de David Neres a attrapé le poteau de Lloris.Dans une semaine à l'Arena d'Amsterdam, Tottenham devra montrer autre chose s'il entend se qualifier pour la finale et peut-être récupérer Harry Kane le 1er juin ».

 

Nous sommes toujours avec le même média où le signataire Romain Bardet pour la RTS rapporte depuis hier mardi 30 avril 2019 que les  entreprises suisses toujours plus intéressées à investir en France.La France selon Romain Bardet pour la RTS :« La France est toujours plus convoitée par les entreprises suisses pour investir, selon un rapport du Ministère de l’Economie présenté mercredi à Berne. L'an dernier, 72 projets d'investissement ont été enregistrés, soit 22% de plus qu'en 2017.C'est un record qui donne le sourire à la France, presque deux ans après l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron. "France is back", avait lancé le président de la République début 2018 à Davos. « Depuis deux ans, on voit clairement une forte amélioration de l'image de la France comme terre d'investissement étranger. Cela est dû en particulier aux réformes qui ont été mises en oeuvre depuis l'élection du président, qui visent d'une part à rendre l'économie plus compétitive par une réduction du coût du travail et d'autre part à rendre le droit du travail plus lisible », explique Christian Gianella, chef du service économique de l'ambassade de France à Berne.En ce qui concerne la Suisse, ce sont très majoritairement de grands groupes qui investissent dans l'Hexagone, comme Givaudan, Nestlé ou LafargeHolcim. Une manière d'avoir un pied solidement ancré sur le marché unique. En revanche, les PME sont beaucoup moins concernées.Switzerland Global Enterprise, l'organisme suisse qui accompagne les entreprises sur de nouveaux marchés se montre prudent, indiquant qu'il est trop tôt pour évaluer l'impact des réformes en France.D'après Christian Gianella, le mouvement des "gilets jaunes" ne devrait pas enrayer le phénomène. « Les investisseurs se posent vraiment des questions sur le long terme, au-delà des évolutions actuelles que l'on observe en France. Emmanuel Macron a reçu plus de 150 investisseurs fin janvier, en leur disant que l'acquis des réformes est là et qu'elles vont continuer dans des domaines importants. C'est ce message avant tout que les entreprises attendent d'un gouvernement », assure-t-il ».

 

En diplomatie, la RTS rapporte depuis hier mardi 30 avril 2019 que :« La secrétaire générale de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Louise Mushikiwabo, reçue à Berne, la cheffe de la Francophonie salue le rôle de la Suisse.Elle a  rencontré ce mardi  30 avril 2019 à Berne le conseiller fédéral Ignazio Cassis. Les deux ambassadeurs veulent accroître l'efficacité de l'OIF.L'ancienne ministre des Affaires étrangères du Rwanda a souligné l'importance à ses yeux de venir dès le début de son mandat à Berne. « La Suisse est une grande joueuse dans l'équipe » de la francophonie, a affirmé devant la presse Louise Mushikiwabo, en fonction depuis janvier.Il y a deux semaines, le Conseil fédéral a décidé d'allouer 1,7 million de francs en faveur de la coopération francophone pour les années 2020 à 2023. La Suisse est le troisième bailleur de fonds, à égalité avec la Belgique, de l'OIF, juste derrière la France et le Canada.Membre de l'OIF depuis 1986, la Suisse fournit aussi son expertise en matière de formation professionnelle duale dans certains pays de l'espace francophone. Elle soutient par exemple l'Agence universitaire de la Francophonie ou la Fête de la Francophonie.Au-delà du soutien financier, Louise Mushikiwabo a cité en exemple la Suisse pour son multilatéralisme et son multilinguisme, saluant au passage son rôle dans le dialogue politique des relations internationales. Elle a remercié la Confédération pour son implication dans l'OIF et les « discussions enrichissantes » qu'elle a eues avec le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis.Ce dernier en a profité pour souligner les nouvelles directions que doit prendre l'OIF. Le ministre la veut moins dispersée et plus efficace. L'organisation s'y montre favorable.La cheffe de la Francophonie a évoqué dans les grandes lignes ses objectifs prioritaires: elle souhaite renforcer le rôle politique de l'organisation, multiplier les échanges bilatéraux et multilatéraux, insuffler plus de concret et de visibilité à l'OIF ».

Le Soir-be avec la participation de l’AFP ,rapporte depuis hier mardi 30 avril 2019 que :« Facebook eut lancé ce mardi 30 avril 2019 une nouvelle version entièrement redessinée de son application, centrée sur les groupes et sur les interactions plus intimes et privées, a annoncé son patron Mark Zuckerberg.Cette nouvelle version, qui perd la couleur bleue typique de Facebook, rend «les communautés aussi centrales que les amis», a dit M. Zuckerberg, qui avait promis le mois dernier de construire une plateforme plus centrée sur la vie privée et l’intime, pour répondre aux critiques et aux nouveaux goûts des usagers ».

Sélection et commentaire de la Rédaction

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