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28 Juillet 2020
Les amis d’hier deviennent-ils aussi les ennemis d’aujourd’hui ou vis versa ? Evidemment oui, malgré que cela ne soit pas si souvent, mais des exemples à travers la planète ne manquent pas, et le plus souvent en politique intérieure ou dans les affaires touchant les finances ou le fauteuil présidentiel ? Voici donc un exemple palpable ou concret des amis d’hier qui deviennent malheureusement les ennemis d’aujourd’hui relaté par l’Agence Belga dans un article de presse publié depuis hier lundi 27 juillet par la RTBF où on apprend que la justice congolaise eut rejeté une nouvelle demande de libération provisoire sollicitée par Vital Kamerhe, le Directeur de cabinet du président Tshisekedi, a appris ce lundi l’AFP auprès de son avocat qui s’inquiète pour sa santé. « Introduite ce vendredi, la demande de libération provisoire a été rejetée samedi » par la cour d’appel de Kinshasa Gombe, a déclaré à l’AFP Me Jean-Marie Kabengela. « Nous allons faire appel de cette décision devant la Cour de cassation », a-t-il ajouté.
L’Agence Belga eut commenté aussi que Selon Me Kabengela, la « santé de Vital Kamerhe n’est pas bonne. Il a des complications chroniques, et en cette période de Covid-19, nous avons des craintes » pour sa vie.Ex-président de l’Assemblée nationale, principal allié du président Tshisekedi lors de son arrivée au pouvoir début 2019, Kamerhe a été condamné à 20 ans de prison pour détournement de fonds.Son procès en appel initialement prévu le 24 juillet a été renvoyé au 7 août.Vital Kamerhe, 61 ans, s’est désisté en faveur de l’actuel chef de l’État Félix Tshisekedi lors de la campagne électorale fin 2018. Arrêté le 8 avril, il a été condamné à 20 ans de « travaux forcés » (dans les faits, de la prison) avec l’entrepreneur libanais Jammal Samih, 79 ans, pour le détournement d’environ 50 millions de dollars.Kamerhe clame son innocence et ses avocats dénoncent une « justice expéditive ». Au moins six de ses demandes de libération provisoire ont été rejetées, selon Me Kabengela.
La Rédaction