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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Conflits infos : Ce qui sort de chez vous

« La race humaine doit sortir des conflits en rejetant la vengeance, l’agression et l’esprit de revanche. Le moyen d’en sortir est l’amour », signé  le défunt pasteur américain Martin Luther King.

La RTBF eut publié dimanche 02 décembre 2018, signé l’Agence Belga que leur pays, la Belgique investira 43 millions d'euros en plus dans les droits des femmes à travers le monde Ainsi, selon Belga : « La Belgique investira dans les prochaines années 43 millions d'euros en plus dans les droits des filles et des femmes à travers le monde, a annoncé dimanche le ministre de la Coopération au développement, Alexander De Croo (Open Vld), lors du concert caritatif international « Global Citizen Mandela 100 » à Johannesbourg. Cet engagement s'inscrit dans le prolongement de « She Decides », la campagne internationale lancée par M. De Croo l'an dernier après la décision du président américain Donald Trump de ne plus soutenir financièrement les organisations actives dans le domaine du planning familial dans les pays en développement. L’engagement couvrira un montant total de 43 millions d'euros, dont 12,4 millions d'euros sont affectés au Fonds de l'ONU pour la population, l'UNFPA et à l'UNICEF en faveur de leur travail et combat contre les mariages d'enfants et pour un meilleur accès aux moyens de contraception. A côté de cela, la Belgique s'attachera plus particulièrement, dans le cadre de ses programmes de coopération bilatéraux au cours des six prochaines années, aux droits sexuels et reproductifs et au planning familial, mobilisant un montant de 30,5 millions d'euros ».

Concernant l’art africains, la RTBF avec Belga eurent publié dimanche 02 décembre 2018 que le ministre français de la Culture favorable à une « circulation » plutôt qu'une « restitution ».La RTBF rapporte donc que : « Le ministre français de la Culture, Franck Riester, a estimé ce dimanche que « les jeunes Africains » devaient « avoir accès à leur patrimoine » et qu'il avait « l'objectif de faire circuler les œuvres », mais « pas forcément par un transfert de propriété ».« Notre objectif est très clair : les jeunes Africains doivent avoir accès à leur patrimoine, mais aussi à celui de l'humanité. Cela passe par des restitutions, mais aussi par des prêts, des dépôts à long terme, des expositions, des échanges d'ingénierie muséale. Il ne s'agit pas de vider les musées, mais de travailler étroitement avec eux sur l'objectif de faire circuler les œuvres », a-t-il dit dans un entretien avec l'hebdomadaire Journal du dimanche.

Le ministre se range ainsi derrière l’Académie des beaux-arts et le musée parisien du quai Branly favorables à une circulation des œuvres plutôt qu'à leur restitution massive préconisée dans le rapport rendu le 23 novembre par deux universitaires, Bénédicte Savoy du Collège de France, et Felwine Sarr, de l'université de Saint-Louis au Sénégal. Ces deux derniers se sont prononcés pour une restitution par la France de dizaines de milliers d'œuvres d'art africain qui ont été pillées pendant la colonisation ou acquises à bas prix. Aussitôt, Emmanuel Macron a décidé de restituer 26 objets au Bénin, des prises de guerre de l'armée française en 1892, alors qu'ils sont pourtant inaliénables, selon le code du patrimoine, à l'instar de toutes les pièces de musées français. Face à ce dilemme cornélien, le ministre de la Culture a estimé que « l'inaliénabilité des œuvres » était « un principe important mais, comme tout principe, il peut y avoir des exceptions et cela pourrait être le cas avec le Bénin ». « Une étude juridique est en cours. S'il faut passer par une loi, nous le ferons » a-t-il ajouté ».

En parlant des Elections en RDC, la RTBF avec ses Agences eurent décrit le  premier meeting sous la pluie pour le « ticket » d'opposants Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe.En effet dans cette information mise en ligne le dimanche 02 décembre 2018, selon la RTBF : «  à  trois semaines du scrutin, les trois principaux candidats à l'élection présidentielle cruciale prévue pour le 23 décembre en République démocratique du Congo mènent une campagne souvent semée d'embûches, avec de nombreux faux départs pour l'un des deux représentants de l'opposition.Dimanche, le « ticket » d'opposants Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe a lancé sa campagne à Kinshasa sous une pluie incessante, devant quelques centaines de sympathisants dans le quartier populaire du Camp Luka à Kinshasa. Voici leur arrivée : Le candidat Félix Tshisekedi a montré du doigt les routes détrempées pour dénoncer le bilan du chef de l'Etat sortant Joseph Kabila. « C'était très difficile pour nous d'arriver ici. Ils n'ont rien fait, la population du Camp Luka est abandonnée. Nous regrettons les conditions de vie des habitants d'ici », a-t-il déclaré dans des propos rapportés par le site internet d'information actualité.cd.Tshisekedi et Kamerhe doivent partir mardi à la conquête de l'Est à Goma, dans le Nord-Kivu, dans cette campagne où bien des rendez-vous peuvent toujours être annulés ou reportés à la dernière minute.

C'est le cas pour l'autre candidat de l'opposition, Martin Fayulu, qui a finalement reporté à mercredi le lancement de sa campagne dans la ville de Beni, également dans le Nord-Kivu, où il voulait initialement arriver dimanche.Martin Fayulu tient à mettre l'accent sur les questions de sécurité à Beni, cible des attaques du groupe armé ADF et d'une épidémie d'Ebola.Il a accusé cette semaine le gouvernement de l'empêcher de faire campagne en retardant la réponse à sa demande d'utilisation d'un avion privé.Le candidat de la majorité Emmanuel Ramazani Shadary a pour sa part fait campagne toute la semaine dans l'ex-Katanga minier (sud-est). « Au cours de notre mandat, un agent de l'Etat qui se livre à la corruption sera jeté dans la prison », a-t-il promis vendredi à Kalemie, la capitale du Tanganyika (sud-est), dans des propos rapportés par le site internet de la radio Okapi.Au total, 21 candidats ont été retenus pour la succession du président Kabila, au pouvoir depuis janvier 2001. Deux d'entre eux se sont désistés respectivement en faveur de Félix Tshisekedi (Vital Kamerhe) et de Martin Fayulu (Freddy Matungulu) ».

Quel comportement des humains ? En effet en Colombie, dans ce reportage signé Caroline Hick, publié dimanche 02 décembre 2018 par la RTBF, la journaliste rapporte que 25 ans après sa mort, Pablo Escobar divise encore sa ville de Medellín.Ainsi , raconte-t-elle que : « Le 2 décembre 1993, armes lourdes aux poings, les membres des unités d'élite colombiennes sont tout sourire. A leurs pieds, le cadavre de Pablo Escobar. Ils viennent de l'abattre, après des mois de cavale. En Colombie, et plus particulièrement dans sa ville de Medellin, c'est un événement majeur. Car Escobar, c'était ici le « patron ». Un baron de la drogue, à la tête du plus grand cartel au monde. Il va contrôler jusqu'à 80% du trafic international de cocaïne. Les Etats-Unis, qu'il inonde de sa poudre blanche, veulent sa peau. On estime sa fortune à 30 milliards de dollars. Derrière son sourire et son indissociable moustache noire, se cache un sanguinaire, commanditaire de centaines d'assassinats de membres de réseaux concurrents mais aussi de juges, policiers, hommes politiques et journalistes. S'il a beau dire qu'il « cherche la paix » et qu'il ne veut pas « d'affrontements entre Colombiens », malheur à celui qui se met en travers de sa route. Il est exécuté sans ménagement. « Plata o plomo » - le pognon ou le plomb.

La corruption ou une balle dans la tête. En 1991, lorsqu'il se rend aux autorités pour éviter une extradition aux Etats-Unis, il parvient à négocier d'aménager lui-même sa prison. « La Catedral », une demeure luxueuse, d'où il continue à gérer son trafic de drogues et à exécuter ses ennemis. C’en est trop pour les autorités, qui découvrent qu'elles se sont fait piéger. Elles décident de le transférer dans une vraie prison.C'est alors qu'il décide de partir en cavale. Pourtant, ce n'est pas l'image qu'on retient de Pablo Escobar dans le quartier de Medellín qui porte son nom. Même si sa dangerosité est reconnue, nombreux sont les habitants qui se souviennent surtout de l'homme riche qui a donné de l'argent aux pauvres, qui leur a construit des maisons et des terrains de sport. « Pour moi, le Robin des bois colombien, c'est Pablo Escobar. Parce qu'il prenait aux riches pour nous donner à nous, les pauvres. Il s'occupait très bien de nous, nous vivions dans une misère totale. »Devant la tombe d'Escobar ou dans ses anciennes propriétés transformées en musée ou en parc d'attractions, on croise aussi beaucoup de touristes étrangers. Depuis quelques années, Escobar est devenu héros de séries et de films d'actions, et cela a provoqué un regain d'intérêt pour la ville de Medellin, où des circuits Pablo Escobar sont proposés aux touristes. 

Tout est fait pour les accueillir et les guider, parfois pendant 6 jours de visite.Les autorités de Medellín tentent de limiter ce narco-tourisme. Pas illégal mais pas très éthique, selon le maire de la ville, Federico Gutierrez. « Tous ces « narcos-circuits » concernent une des personnes les plus impliquées dans le phénomène le plus sanglant que notre pays ait jamais connu. La mafia, cette culture de la mafia, c'est ce qui nous a fait le plus mal! » Pour Federico Gutierrez, ces propriétés doivent être transformées en lieux de mémoire des innombrables victimes de Pablo Escobar, plutôt qu'en lieux de culte ou de tourisme. A l'image de la Catedral, sa prison personnelle, qui est aujourd'hui devenue un monastère. Mais il le sait, même en éradiquant toutes ses propriétés, le mythe Escobar continuera d'exister... »

C’est au Mexique que l’AFP rapporte dimanche 02 décembre 2018 pour le compte de la RTBF que le consulat américain de Guadalajara visé par une attaque à l'explosif.Selon l’AFP pour le compte de la RTBF : « Un engin explosif a visé dans la nuit de vendredi à samedi le consulat américain de Guadalajara, à l'ouest du Mexique, sans faire de victime et provoquant des dégâts légers, ont indiqué les autorités locales.L'explosion a eu lieu quelques heures avant l'investiture à Mexico du nouveau président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador en présence du vice-président américain, Mike Pence, et de Ivanka Trump, la fille du président Donald Trump.Les « investigations sont menées par les autorités fédérales » a annoncé le parquet local sur Twitter.Selon des images de vidéosurveillance, un individu a déposé la charge explosive avant de s'éloigner en courant, a précisé une source au sein du parquet local.L'explosion a provoqué un trou de 40 centimètres dans le mur qui entoure le jardin du consulat. Trois goupilles de grenades à fragmentation auraient été découvertes sur les lieux de l'explosion, selon cette même source. Dans une vidéo qui a circulé ces derniers jours sur les réseaux sociaux, un individu avertissait d'une attaque contre le bâtiment de la part du cartel de Jalisco Nouvelle Génération, l'une des principales cibles des opérations anti-drogue américaines. Le cartel de Jalisco Nouvelle Génération, dont le fief est situé dans cet Etat de Jalisco (ouest), a connu une ascension fulgurante au cours des dernières années pour devenir l'un des plus puissants du Mexique ».

Sélection et commentaire de la Rédaction

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