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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Sans rancune : « N’Djamena en athétose, figée, abasourdie par des maires véreux et des receveurs cupides qui ont vite fait de s’acheter des villas en dur éparpillées à travers les quartiers insalubres qui sont impossibles de nettoyer faute des moyens chapardés pour bâtir ces villas », déclare Dr Djiddi Ali Sougoudi du Tchad.

N’Djamena en athétose, figée, abasourdie par des maires véreux et des receveurs cupides qui ont vite fait de s’acheter des villas en dur éparpillées à travers les quartiers insalubres qui sont impossibles de nettoyer faute des moyens chapardés pour bâtir ces villas.

Ce coup de Badangaï 440 de Djiddi Ali Sougoudi, publié depuis le samedi 28 juillet 2018 n’est pas le fait d’un Va-t-en guerre ou d'un adepte de trouble à l’ordre public, mais c'est un raz-le-bol d’un citoyen révolté contre sa communauté  dont la passivité intrigue face aux propos démagogiques et mensongers des maires de la ville de N’Djaména avec à leur tête Madame Mariam Djimet Ibet. Dr Djiddi Ali Sougoudi a pris le soin et le temps de leur donner la réplique à la dimension de leur mauvaise foi doublée d'hypocrisie  à travers son Coup de Bandagaï 440 titré : «Incestueuse ville de N’Djaména et menteuse mairie !» Madame Mariam Djimet Ibet qui eut décidé de s'expliquer au nom de tous les maires de la ville de N’Djaména à travers son point de presse sous forme d’un bilan après l'ultimatum de 72 heures qui leur a été lancé par le chef de l’Etat pour se débarrasser de l’insalubrité et des eaux de pluie qui excitent désagréablement les nerfs  entraînant discordes et conflits de voisinage, le tout  se passe dans une ville qui a cessé d'être prétendument la "vitrine d'Afrique" mais elle est devenue, le carrefour de la poubelle. Durant ce point de presse de samedi 28 juillet 2018, madame Mariam Djimet Ibet eut ouvertement déclaré : «Nous, maires, nous sommes capables de rendre propre cette ville propre en moins de 72 h car 72 h c’est trop. Nous sommes capables de faire un travail de titan de 72 ans en 72 heures ».Mais Dr Djiddi Ali Sougoudi voit autrement les choses : « Discours démagogues d’une mairesse bruyante pour rien qui se moque sûrement de son Président ».

Djiddi Ali Sougoudi attire l’attention des populations de la ville de N’Djaména sur les causes profondes de cette insalubrité dénoncée par tout le monde,y compris par le chef de l’Etat tchadien. Toutefois les vraies causes se trouvent bien ailleurs. Voilà pourquoi le Coordinateur National du Programme de Lutte contre le Paludisme au Tchad eut décidé de réagir : «Somptueuse dans son bordel de purulences et de pituites diverses, la ville de N’Djamena ouvre sa vulve tuméfiée par dessus un vagin éclaté, meurtri et en putréfaction, avec ses remugles humides et nauséeux où pataugent des citadins désabusées. N’Djamena, la Capitale, la coquette saleté ambiante et « vitrine de l’Afrique » de tous les obséquieux et laudateurs qui la dévorent en soufflant sur ses multiples plaies sanieuses et en pus grumeleux faisant sourdre d’indomptables bactéries et virus ravageurs. N’Djamena en athétose, figée, abasourdie par des maires véreux et des receveurs cupides qui ont vite fait de s’acheter des villas en dures éparpillées à travers les quartiers insalubres qui sont impossibles de nettoyer faute des moyens chapardés pour bâtir ces villas. Boucle de perfidie bouclée: villas cossues construites avec les frics volés à la mairie et mairie qui ne peut pas rendre propres les quartiers où sises ces villas fautes des ressources volées pour ériger ces mêmes-villas!!!La ville entière est vautrée dans la boue et la puanteur des rues gorgées d’eau et engorgées des détritus. N’Djamena sue de toutes ses aisselles aux exhalaisons cadavériques. Ses cloaques suintent des choses dégueulasses et dégoûtantes ».

Il enchaîne immédiatement en ajoutant que : «La pluie, soupirante traîtresse d’une ville d’inconscients, se déverse à torrent et à cordes, étreint alors sa pute de fiancée saisonnière dans une longue valse de maladies graves et d’un environnement délétère et infect. Partout flottent les dégâts des l’incivisme du peuple sale et malpropre comme si génétiquement cette population N’Djamenoise est atteinte de la pathologie de scatophilie ou de coprophagie. Tous les Tchadiens sont-ils atteints du syndrome de Diogène? C’est quoi ce? « Ce syndrome de Diogène est un réel trouble pathologique rendant certaines personnes incapables de jeter, alors qu'elles accumulent pendant des années des objets inutiles. Même si cette tendance reste contrôlable chez la majorité des individus, ces personnes qui vivent avec le syndrome de Diogène évoluent dans un désordre tel que toute leur vie s’en trouve modifiée. »La ville exhale les miasmes puants à tout bout de rue. Terrains de loisirs envahis des fèces de chieurs à l’air libre, anarchie citoyenne qui jette ses ordures dans les rues devenues champs infinis où s’amoncellent le désordre et l’idiotie Citoyenne ».

En conclusion, Djiddi Ali Sougoudi  oriente son tir littéraire en direction de la maire de N’Djaména madame Mariam Djimet Ibet, représentant les autres maires de cette grande ville insalubre de la sous-région Afrique centrale : « La mairesse suivie d’une escouade d’autres maires tancés vertement par le Président de la République maugrée:- « Nous avons constaté que le Chef de l’Etat a constaté que nous avons constaté que la ville est sale car le Président se déplace et constate les dégâts que nous constatons qu’il constate.... il nous a donné 72h pour agir mais 72 c’est trop! Nous, maires, nous sommes capables de rendre propre cette ville propre en moins de 72 h car 72 h c’est trop. Nous sommes capables de faire un travail de titan de 72 ans en 72 heures »!Discours démagogues d’une mairesse bruyante pour rien qui se moque sûrement de son Président. Tout à coup, les gros véhicules, tractopelles, bulldozers, tracteurs de culture transformés en tracteurs de déchets, véhicules à broyer les détritus, V8 des maires de mairies sales et invivables, tous, se mettent à faire un bruit terrifiant de machines et d’hommes hilares. Tout est cri et horreurs dans la boue infâme qui entoure la bête spumeuse de gonflement et de cadavérisation.  Bain initiateur des boues et bain de bouche avec la boue sale et urbaine comme pour s’initier à la terre qui attend d’ensevelir les milliers des tchadiens qui meurent des maladies liées à la mauvaise hygiène. N’Djamena incestueuse et ses mairies menteuses dans une logique interminable de pillage. Que de mensonges sur des promesses non tenues. Nettoyages des rues à peine commencés qui tombent dans l’oubli. Moustiques qui pullulent et chantent son aise en inoculant le plasmodium meurtrier, le vibrion cholérique qui fera hécatombes, d’autres maladies hydriques sournoises et sans diagnostic mais qui font ravage. N’Djamena flotte dans son deuil séculaire et ses milliers de funérailles. Et les mairies mentent comme elles respirent »

La Rédaction

Encadré : Quelques réactions des Tchadiens par rapport au Coup de Badangaï 440 de Dr Djiddi Ali Sougoudi

Abazene Aboumkoulla : «Un vrai Beaudelaire! Dr Djiddi un peu de calme s'il te plait. C'est trop pour ces pauvres maires, forcés à se mentir eux mêmes pour s'auto reprocher des fautes qu'ils jurent réparer en un temps qu'ils savent insuffisant comme ces pauvres notables qui promirent à sultan Djakara de lui cueillir la lune. Quand il leur dit qu'il leur faudra reprendre leur circoncision, la première étant pour Dieu, il se leva le lendemain pour découvrir que tous les hommes avaient fui. À l'impossible nul n'étant tenu, souffre un peu que ces maires se donnent un petit souffle en poussant le ridicule à se couvrir d'un gros mensonge...Le chef doit l'avoir bien compris».

Nour Hakoumi : «Elle ne devrait pas attendre la réaction du chef de l'État pour se mettre au boulot. pourtant c'est une dame qui sort d'une grande école renommée comme l'ENTP et elle est la première femme ingénieur en génie civil au Tchad. ses connaissances acquises à l'ENTP devraient lui permettre d'élaborer un plan d'évacuation des eaux qui stagnent nos avenues, rues.. mais en vain... »

 

Abakar Mahamat Choka : "Ce n'est pas une question de diplôme mais de conscience professionnelle et de patriotisme, vous pouvez avoir le plus gros diplôme du monde mais aussi le plus gros "mangeur " du denier public. Le Chef de l,État a bien évoqué cela en disant que plus de 90% des recettes des communes vont dans les poches de ces responsables véreux"

Mahamat Bouyé Lougoum Bordeby : «Bonjour Dr. laissez vous comprendre par tout le monde. Certainement beaucoup des personnes lisent vos articles mais lis n’en tirent rien. Personnellement pour vous comprendre il me faut un dictionnaire à mes côtés et j’ai appris beaucoup de choses. Mais l’objectif est de faire comprendre tout le monde n’est-ce pas ? »

Hassan Tahir: «Y a que ces gros mots pour clouer leurs becs à ces «satan iblis» des maires »Youssouf Aboubakar : «N’Djamena flotte dans son deuil séculaire et ses milliers de funérailles. Et les mairies mentent comme elles respirent...."Qui travaille pour ce pays, qui travaille pour ce peuple ?»

 

 

 

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