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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Courriers positifs : Ce qu’il faut retenir

On a toujours cru que ce ne sont que les grandes puissances économiques ou politiques qui ont la mainmise sur le monde. Et bien non ! « Le savoir appelle l’acte. Si l’acte ne vient pas, le savoir s’en va », selon une citation anonyme. Et Pablo Picasso considère pour sa part que:« Tout acte de création est d’abord un acte de destruction». Dans la même veine, retenons aussi la citation de Gandhi qui considère : «qu’être en retard est un acte de violence». Quant à Indira Gandhi, femme d’Etat, première ministre indienne (1917-1984) : «Le bonheur c’est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles». Enfin pour Gibran Khalil Gibran : «Le mérite d’un homme réside dans sa connaissance et dans ses actes et non point dans la couleur de sa peau ou de sa religion». C'est suffisant d’admettre que ce ne sont pas que les grandes puissances qui pèsent gros sur cette planète terre. Ces grandes puissances politiques ou économiques ne sont rien sans leurs actes. C’est bien cela, d’autant plus que l’absence d’actes positifs font souvent perdre la grandeur des pays riches. Et les nouvelles positives ou d’actes positifs relèvent ces pays là au rang des grandes nations. Même les cinq grandes puissances qui ce sont accordées le droit de veto du Conseil de Sécurité des Nations unies, leur donnant droit de bloquer toute résolution, quelle que soit l’opinion majoritaire, ne sont en réalité  rien même devant des pauvres petits pays sans poser les actes dits "positifs".

Finalement, ce n’est pas le vide qui construit le monde, mais le plein si on peut l’expliquer de cette façon. En d’autres termes, le monde se construit grâce à la multitude d'actes positifs et non des agissements machiavéliques et monstrueux qui ne sont que là pour le détruire. C’est facile de comprendre cette philosophie. Puisque la guerre ne construit pas la guerre. On connait depuis bien si longtemps cette formule populaire qui nous rappelle que : «la guerre alimente la guerre !». Comme eut constaté Albert Eintein : «La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre». Comme le stipule un proverbe français : «Celui qui n’avance pas, recule». D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle, la Rédaction eut choisi pour vous des nouvelles réjouissantes dans cette sélection des articles de la RTBF, du journal numérique canadien Le Devoir et enfin des agences de presse telles que l’AFP et  Belga. Bonne lecture à tous !

 

Cette information nous provient de Gaza au cœur de la Palestine, publiée par la RTBF,mais signée Amélie Bruers pour le compte du VEWS. Ainsi, dans ce reportage vivant : «Féministe et réfugiée en Belgique, Abeer porte la voix des femmes de Gaza », signé donc depuis le vendredi 28 juin 2019, de notre consœur Amélie Bruers, il est question d’une femme de 24 ans , nommée Abeer :« Elle a 24 ans, demandeuse d’Asile depuis octobre 2018. Elle nous a raconté son parcours et ses ambitions.Cette féministe originaire de Gaza se sent « libre comme un oiseau » en Belgique.Je me suis trouvée moi-même, en Belgique. Je me sens libre". Du haut de ses 24 ans, Abeer affiche des objectifs ambitieux. « Je suis venue ici pour compléter mon éducation et devenir une spécialiste des relations internationales ». Son engagement, elle l’a commencé dans la bande de Gaza. « Oui, je suis féministe ! », affirme-t-elle, souriante. « Je veux devenir une représentante des femmes de Gaza. Je veux porter leurs voix et raconter leurs histoires cachées ». « En Belgique, les femmes roulent à vélo librement ! »Elle y a étudié la littérature anglaise à l’Université et était, déjà, activiste pour les droits des femmes. « Les femmes ne sont pas libres de faire ce qu’elles veulent, on parle d’elles. A Gaza, je suis limitée dans mes choix en tant que femme ».

Abeer a décidé de venir en Belgique, après un passage par la République tchèque. « Les femmes font ce qu’elles veulent, ici. Elles peuvent rouler à vélo… c’est d’ailleurs la première chose que j’ai apprise en arrivant en Belgique ».Le choix belge s’est imposé, par la langue. « L’anglais est ma deuxième langue. A Bruxelles, en tant que capitale de l’Europe, il y a beaucoup de nationalités différentes et tout le monde parle anglais. Je peux communiquer plus facilement que dans d’autres pays d’Europe ». En attendant l’analyse de sa candidature en tant que réfugiée, Abeer vit au Centre d’accueil Fedasil de Morlanwelz, dans le Hainaut.Elle partage une chambre avec 6 autres femmes, originaires d’Afrique subsaharienne. Toutes attendent l’officialisation de leur statut pour pouvoir étudier et travailler.« Je prends des cours intensifs de français, 4 fois par semaine, pour devenir autonome", raconte la jeune femme, qui touche 1€ par jour. "Je parle parfois du mal du pays avec mes amis. Mais au final, je me sens bien en Belgique. Je vais pouvoir atteindre mes objectifs. Tout se passera bien pour moi ».Pour obtenir le statut de réfugiée, qui lui donnera le droit de rester et de travailler en Belgique pendant 5 ans, Abeer va devoir passer plusieurs auditions. L’administration décidera si elle peut rester en Belgique ou si elle doit rentrer en Palestine».

«Pourquoi les hommes monopolisent le barbecue?», question posée depuis le vendredi 28 juin 2019 dans une publication de la RTBF avec la signature de la journaliste Sofia Cotsoglou, ayant mené à bout le reportage :«Quand il s’agit de préparer le repas du soir, Monsieur est généralement aux abonnés absents. Il lui arrive de réchauffer une pizza ou d’improviser une omelette au jambon pour nourrir sa progéniture quand Madame est de sortie. Mais à part quelques rares cas de force majeure, la cuisine, ce n’est pas trop sa tasse de thé.Quand arrivent les beaux jours, Madame et Monsieur, qui ont un joli jardin, aiment inviter des amis autour d’un bon barbecue. Et ce jour-là, Monsieur devient le superhéros des braises. Il enfile son tablier et se charge de tout. Enfin, de tout sauf des salades et des pommes de terre parce qu’il ne peut pas être au four et au moulin en même temps. Mais surtout parce que le barbecue renvoie à une répartition des rôles très genrés qui remonte à la préhistoire : "les hommes chassent le mammouth pendant que les femmes partent à la cueillette", explique Valérie Piette, professeure d’histoire à l’ULB. « On est dans un mythe quasi naturaliste, c’est presqu’hormonal ce rapport au barbecue ».Le barbecue renvoie au mythe des hommes qui chassent le mammouth pendant que les femmes partent à la cueilletteMonsieur sait exactement ce qu’il doit faire : disperser le charbon dans le barbecue, aller chercher des morceaux de bois dans le fond du jardin, récupérer du papier journal, verser un peu d’alcool à brûler, gratter une allumette. Pas question de le déconcentrer car ce n’est pas tout d’allumer le feu, encore faut-il que les braises s’enflamment.Que Madame et ses copines ne s’avisent pas de s’approcher du feu ou pire de s’emparer des pinces ou de la spatule pour retourner les bouts de viande qui commencent à ressembler à des morceaux de charbon. Si la gent féminine ose défier le roi de la grillade, elle s’attirera à coup sûr les foudres de la brochette de mâles agglutinés autour des braises fumantes avec leur bouteille de bière à la main.

Le barbecue, c’est une affaire d’hommes et c’est comme cela depuis la nuit des temps.Depuis que l’Homo erectus a découvert le feu il y a 450.000 ans.L’anthropologue Claude Levi-Strauss a longuement étudié ce rapport du mâle à la braise dans son essai sociologique « Le Cru et le Cuit » sorti en 1964.Si la maîtrise du feu est pour certains synonyme de puissance et de virilité, la réalité historique est tout autre. « Ce sont les femmes qui gardaient le feu, qui savaient comment faire pour qu’il ne s’éteigne pas », précise la professeure d’histoire Valérie Piette.« Au-delà de ce rapport viril au feu », poursuit-elle, « si les hommes monopolisent le barbecue, c’est surtout parce qu’ils se sentent investis d’un rôle de chef de tribu. Le barbecue est un repas festif et exceptionnel qui se passe à l’extérieur, au vu et au su de tous. Alors que les femmes sont généralement en charge de la cuisine répétitive et contraignante du quotidien qui se déroule plutôt à l’intérieur. » Valérie Piette de conclure : « Le barbecue n’est pas juste un objet, c’est aussi un lieu de pouvoir ».Si dans l’imaginaire collectif, le barbecue est lié à la testostérone, les œstrogènes sont bien décidés à y mettre leur grain de sel. De plus en plus de femmes brisent les codes et embrochent les stéréotypes. En Suisse, Désirée Stholer a été couronnée reine du barbecue en 2014 lors des championnats de la Swiss Barbecue Association. En Belgique aussi les femmes s’imposent. L’émission Grillmasters sur la RTBF est présentée par la cheffe-star de la télé flamande Sofie Dumont et son acolyte Benjamin Laborie. La popularité de l'alimentation bio, le végétarisme et lebarbecue électrique (sans feu et donc avec moins d’enjeux), autant de tendances qui sonnent le glas de l’omniprésence masculine autour du barbecue.Autant prendre le train de la révolution de la braise en marche. Ce week-end, Madame se chargera de griller la bidoche sur le barbecue pendant que Monsieur préparera salades et assaisonnements ».

«Trêve dans la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine», cette annonce porte la signature du journaliste Jonathan Lemire de l’Association de la presse à Osaka, que l’on retrouve depuis hier samedi 29 juin 2019 sur le site du journal numérique Le Devoir sous forme d’un article. Selon donc le journaliste Jonathan Lemire : «Le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping ont convenu d’une trêve, samedi, dans la guerre commerciale qui s’étire depuis un an entre leurs deux pays, évitant pour le moment une escalade des hostilités redoutée par les marchés financiers, les entreprises et les agriculteurs.Donald Trump a déclaré que les tarifs américains sur les importations chinoises resteraient en place pendant que les négociations se poursuivent. Les sanctions commerciales supplémentaires qu’il avait menacé d’imposer contre des produits chinois d’une valeur de plusieurs milliards de dollars américains ne prendront pas effet « pour le moment », a-t-il précisé, après une longue réunion avec le président Xi en marge du sommet du G20 à Osaka.Les deux puissances économiques reprendront donc les pourparlers qui s’étaient enlisés après onze rondes de négociation.Des doutes subsistent quant à la volonté des deux pays de trouver un compromis pour une solution à long terme. Parmi les pierres d’achoppement : les États-Unis allèguent que Pékin dérobe des technologies et contraint des sociétés étrangères à divulguer des secrets commerciaux, ce que la Chine nie fermement.Des progrès auraient néanmoins été réalisés quant au différend impliquant le géant des télécommunications Huawei, que l’administration Trump a qualifié de menace à la sécurité nationale.Le président américain a annoncé samedi qu’il autoriserait les entreprises américaines à vendre leurs produits à Huawei, mais il n’était pas encore disposé à retirer la société chinoise de sa liste noire commerciale ».

«Le président tunisien en état «critique», mais «stable» après un malaise », nouvelle positive de la Presse.Canadienne, signée depuis hier samedi 30 juin 2019 de l’AFP,où ce média occidental rapporte que : « Le président tunisien Béji Caïd Essebsi, 92 ans, est dans un état « critique », mais stable après avoir été hospitalisé pour un grave malaise, ont annoncé un de ses conseillers et la présidence.« La situation du président est critique », a indiqué son conseiller Firas Guefrech, sur Twitter. Il a ensuite précisé que son « état est stable », démentant des rumeurs faisant état de sa mort.M. Essebsi, « victime d'un grave malaise, a été transféré à l'hôpital militaire de Tunis », a écrit la présidence sur sa page Facebook, le jour où deux attentats suicide ont frappé la capitale tunisienne, tuant un policier et blessant huit personnes.« Son état est désormais stable et il reçoit les soins nécessaires », a précisé la présidence en milieu d'après-midi.Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, a indiqué sur sa page Facebook qu'il s'était rendu au chevet du président. « Je tiens à rassurer les Tunisiens, le président est en train de recevoir les soins nécessaires », appelant à « ne pas diffuser d'informations fausses semant la confusion ».M. Essebsi avait déjà été hospitalisé en fin de semaine dernière, un des conseillers de la présidence assurant alors qu'il s'agissait d'examens de routine, tandis qu'un autre évoquait un souci de santé mineur.Les médias tunisiens avaient fait état au même moment de l'hospitalisation du président du Parlement tunisien, Mohamed Ennaceur, 85 ans.Jeudi après les attentats-suicides et l'hospitalisation du président Essebsi, M. Ennaceur a réuni à l'Assemblée les chefs des blocs parlementaires.Selon l'article 84 de la Constitution, il revient à la Cour constitutionnelle de constater la vacance du pouvoir et de confier la présidence par intérim, soit au président du Parlement en cas de décès du président de la République, soit au premier ministre en cas de vacance temporaire.Mais huit ans après la révolution, la Tunisie n'a toujours pas de Cour constitutionnelle. L'instance provisoire qui la remplace ne dispose pas de prérogative claire en cas de vacance du pouvoir, selon l'ONG d'observation politique Bawsala.Le climat politique s'est tendu en Tunisie ces derniers mois à l'approche d'élections présidentielle et législatives, prévues en octobre et novembre ».

Choix et commentaire de la Rédaction

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