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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Conflits infos : Ce qui sort de chez vous

Entre la méchanceté et l’être humain, qui donc joue l’esclave ou le serviteur et qui assure le rôle du maître ? Sans attendre le lever du jour ou du soleil, appuyons-nous sur cette parole biblique tirée de 2 Timothée 3 verset 13 où il est indiqué : «Les hommes méchants et imposteurs avanceront toujours plus dans le mal, égarant les autres et égarés eux-mêmes ». En peu de mots, on peut donc dire que l’être humain sert la méchanceté ou devient son esclavage de façon insistante à tel point que les portes de sortie lui sont définitivement fermées. Dans cette sélection composée de cinq articles par la Rédaction, publiés par la RTBF avec la signature de plusieurs médias, on tire comme leçon de morale que l’être humain est en danger de façon permanente et il est aussi  parfois cet agresseur dangereusement inconnu qui se cache derrière un sourire temporaire difficilement identifiable. Que faire donc ? Voici un meilleur outil nous permettant d’éviter sans aucune condition d’être enchaîné par la méchanceté : «Toi, demeure dans les choses que tu as apprises, et reconnues certaines, sachant de qui tu les as apprises; dès ton enfance, tu connais les  saintes lettres, qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus Christ », déclare l’Apôtre Saint Paul dans 2 Timothée 3 :14-15. A bon entendeur salut !

 

Cette première information nous provient de la RDC dans le continent africain où A. Lechien avec Agences nous apprennent grâce à la publication de la RTBF que : «La Cour pénale internationale (CPI) a reconnu coupable ce lundi l'ancien chef de guerre congolais Bosco Ntaganda de crimes de guerre et crimes contre l'humanité pour des exactions commises en 2002 et 2003 en Ituri, dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC). «La chambre considère Bosco Ntaganda coupable de meurtres, d'avoir dirigé intentionnellement des attaques contre des civils, de viols, d'esclavage sexuel, de persécutions et de pillages en tant que crimes de guerre et crimes contre l'humanité», a déclaré lors d'une audience le juge Robert Fremr.Surnommé «Terminator», Ntaganda a lui-même exécuté un prêtre et est reconnu coupable d'avoir commandité des viols de femmes et filles, dont une âgée seulement de 9 ans, a ajouté le juge, qui n'a pas prononcé de peine. La peine le sera au cours d'une prochaine audience, a-t-il précisé.Le juge Flemr a énuméré pendant de longues minutes les charges retenues contre l'ancien chef de guerre, reprenant les termes de l'accusation. Au cours du procès, débuté en septembre 2015, celle-ci avait dressé à l'aide de témoignages un tableau épouvantable des exactions présumées commises sous les ordres de Ntaganda, comme des exécutions à coups de machette et des femmes enceintes éventrées.L'homme à la moustache en trait de crayon, qui est apparu à l'audience le visage fermé vêtu d'un costume sombre et d'une cravate rouge bordeaux, toujours assuré être un "révolutionnaire" et non un criminel, rejetant son surnom de « Terminator ».Ancien général redouté de l'armée congolaise, M. Ntaganda, 45 ans, a été reconnu coupable de 13 crimes de guerre et de cinq crimes contre l'humanité, pour lesquels il a plaidé non coupable en 2015.Selon des ONG, plus de 60.000 personnes ont perdu la vie depuis l'éclatement en 1999 de violences sanglantes en Ituri, région instable et riche en minéraux. Bosco Ntaganda a joué un rôle central dans la planification des opérations de l'Union des patriotes congolais et de son bras armé, les Forces patriotiques pour la libération du Congo (FPLC), a martelé en août l'accusation lors de la dernière phase de son procès. Né au Rwanda, où il a fait ses armes avec le Front patriotique rwandais (FPR), M. Ntaganda, issu d'une famille tutsie, avait la réputation d'être un leader charismatique avec un penchant pour les chapeaux de cow-boy et la gastronomie. Général de l'armée congolaise de 2007 à 2012, il est ensuite devenu l'un des membres fondateurs du groupe rebelle du M23, qui a finalement été vaincu par les forces du gouvernement congolais en 2013.A la suite de dissensions accompagnées de combats au sein du mouvement, M. Ntaganda est contraint à fuir au Rwanda, et à se réfugier à l'ambassade des États-Unis à Kigali, d'où il demandera son transfert à la CPI, une initiative inédite dans l'histoire de la juridiction.Bosco Ntaganda est l'un des cinq chefs de guerre congolais à avoir été traduit devant la Cour, fondée en 2002 pour juger des pires atrocités commises dans le monde. En mars 2012, la CPI a condamné à 14 ans de prison Thomas Lubanga, ancien chef de M. Ntaganda dans les FPLC.Le procureur de la Cour a toutefois subi une série de revers ces dernières années, avec l'acquittement de plusieurs suspects. Certains pays d'Afrique reprochent également à la CPI de viser principalement des suspects africains ».

 

De l’Europe on tire cette information publiée par la RTBF et signée depuis hier lundi 08 juillet 2019 disant que: « Le Royaume-Uni « doit quitter » l'Union européenne le 31 octobre, a déclaré lundi le ministre britannique chargé de cet épineux dossier, soulignant que c'était une volonté des deux camps. « Nous avons toujours dit clairement et Boris Johnson (favori pour remplacer la Première ministre Theresa May) l'a dit très clairement: le Royaume-Uni doit partir le 31 octobre », a déclaré le ministre chargé du Brexit, Stephen Barclay, lors d'une conférence de presse devant la presse étrangère.« Les 27 pays de l'UE ont d'ailleurs également dit qu'un nouveau report sans objectif n'est pas souhaitable non plus pour l'Union européenne », a-t-il ajouté, évoquant la « fatigue du Brexit », lassitude liée à ce dossier qui encombre la vie politique britannique depuis le référendum de juin 2016 où 52% des Britanniques ont voté pour quitter l'UE.Du côté des entreprises, « il y a le souhait que l'incertitude ne se prolonge pas », a souligné le ministre.Les deux prétendants à la succession de Theresa May, Boris Johnson et Jeremy Hunt, assurent vouloir nouer un accord avec l'UE après le rejet à trois reprises par les députés britanniques de celui négocié en novembre par Theresa May. Mais aucun des deux hommes n'exclut une sortie sans accord et Boris Johnson, favori des sondages, veut que le divorce soit prononcé fin octobre, accord ou non.« C'est dans l'intérêt des deux parties d'éviter un no deal », a déclaré M. Barclay, soutien de Boris Johnson. Mais le gouvernement se prépare à ce scénario qui aurait des "conséquences" pour le Royaume-Uni mais aussi « très clairement » pour les pays de l'UE, a prévenu le ministre, avec un impact « variable » selon les pays.« Par exemple, selon nos analyses, l'impact d'un no deal serait plus important pour l'Irlande que pour le Royaume-Uni », a-t-il dit.Stephen Barclay a déclaré qu'il rencontrerait le négociateur en chef de l'UE, Michel Barnier, mardi. « Clairement l'élection aux postes de pouvoir (de l'UE) change la dynamique, a déclaré le ministre, mais plusieurs figures-clés resteront à leurs postes les prochains mois ».Le nom du successeur de Theresa May sera connu le 23 juillet ».

 

Une seconde information nous provient aussi de l’Europe, signée de l’Agence Belga, mais publié toujours le lundi 08 juillet 2019 par la RTBF, où ces deux médias belges rapportent ensemble que :«Le Vatican lève l'immunité du nonce apostolique en France, accusé d'agressions sexuelles. Une première dans l'histoire moderne de la diplomatie vaticane: le Saint-Siège a levé l'immunité de son ambassadeur en France, Luigi Ventura, sous le coup d'une enquête à Paris pour « agressions sexuelles », une étape qui rend désormais possible d'éventuelles poursuites judiciaires.Le nonce apostolique est visé par les plaintes d'au moins quatre hommes en France, dont trois au moins lui reprochent des attouchements.Après avoir été entendu par la police judiciaire française début avril, l'évêque âgé de 74 ans s'est rendu à des confrontations avec plusieurs de ces plaignants fin mai, au cours desquelles il a nié les faits.Lundi, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères a indiqué avoir reçu, « en fin de semaine dernière », « confirmation de la part du Saint Siège de sa renonciation à l'immunité pour la procédure envisagée ». Le parquet de Paris a confirmé de son côté avoir été notifié ce lundi.« Il s'agit d'une mesure extraordinaire qui confirme la volonté exprimée par le nonce lui-même dès le début de cette affaire de collaborer pleinement et spontanément avec les autorités judiciaires françaises compétentes », a expliqué un peu plus tard le Saint-Siège dans un communiqué. Il a précisé avoir attendu « avant de prendre cette décision, (...) la conclusion, annoncée fin juin, de la phase préliminaire » de l'enquête.L'affaire avait éclaté en février avec la révélation de l'ouverture d'une enquête par le parquet de Paris, dans un contexte de multiples scandales sexuels touchant l'Eglise catholique.La mairie de Paris avait signalé au parquet qu'un jeune cadre municipal, Mathieu de la Souchère, s'était plaint d'attouchements répétés du nonce apostolique  des « mains aux fesses » -lors d'une cérémonie des voeux aux autorités diplomatiques en janvier.Deux autres plaignants s'étaient ensuite manifestés et avaient relaté des faits similaires en 2018.

 

Ces trois hommes ont été entendus par les enquêteurs. Une quatrième plainte au moins a été déposée par un autre homme.« Les efforts des victimes ont payé », a réagi auprès de l'AFP Mathieu de la Souchère, se disant « très surpris » par cette décision.« On va enfin pouvoir avoir droit à une enquête et un procès équitables, ce qui n'était pas envisageable jusqu'à présent car on avait un agresseur qui était protégé du fait de son statut », a-t-il estimé, déplorant le fait que les victimes n'ont, selon lui, pas été soutenues par le gouvernement français dans cette affaire.« Une première victoire ».Cet homme de 27 ans s'était rendu à Rome début juillet, avec une autre victime, pour y rencontrer notamment le père allemand Hans Zollner, l'un des experts reconnus au sein de l'Eglise sur les scandales sexuels. Il avait alors annoncé son intention de saisir le Saint-Siège de cette affaire, estimant que les choses n'avançaient « pas assez vite ».« Nous ne pouvons que nous satisfaire que le Vatican accepte que cette situation de non-droit ne perdure pas », a salué de son côté Jade Dousselin, avocate de Benjamin, un des autres plaignants. « C'est une première victoire, il faut maintenant qu'on aille devant la justice », a-t-elle ajouté.Diplomate de carrière du Vatican, Mgr Ventura occupe le poste de nonce apostolique depuis 2009 à Paris. Il est chargé des relations du Saint-Siège avec les autorités françaises d'une part et avec les évêques de France d'autre part, pour lesquels il participe au processus de nomination.Compte tenu de ses fonctions, il bénéficiait jusqu'alors de l'immunité diplomatique et ne pouvait être entendu sous contrainte par les enquêteurs. Cette levée d'immunité est une décision historique pour un nonce en activité.En juin 2018, un conseiller de la nonciature auprès des Etats-Unis avait été condamné à cinq ans de prison pour détention et transmission de matériel pédopornographique par la justice du Vatican, le Saint-Siège l'ayant rappelé sans donner suite à une demande de levée d'immunité diplomatique réclamée par Washington.En 2013, le Vatican avait aussi rappelé d'urgence de République dominicaine Josef Wesolowski, un nonce polonais accusé de pédophilie, refusant de l'extrader vers la Pologne. Il était décédé la veille de son procès devant le tribunal du Vatican ».

 

Cette fois-ci, l'information émane des USA  dans le continent américain. où la RTBF. E.D avec Agences sont allés cherchés  cette information, publiée lundi 08 juillet 2019 : « Pour la majorité des internautes, McAfee c’est le nom d’un célèbre antivirus. A tel point que beaucoup ont même oublié que, derrière l’outil installé sur les ordinateurs, se cache un homme qui a fait fortune grâce à ses logiciels : John McAfee. La vie tumultueuse de ce millionnaire américain a parfois fait la Une des journaux mais aujourd’hui il revient sur le devant de la scène pour une autre raison : John McAfee veut être officiellement candidat à l’élection présidentielle américaine de 2020.C’est sur son bateau amarré dans la cossue Marina Hemingway de La Havane, à Cuba, que John McAfee reçoit les journalistes. « Je me présente à la présidence des États-Unis sur une plate-forme de désaccord total avec le gouvernement américain en termes de politique étrangère car les USA veulent être le policier du monde explique John McAfee à l’AFP. L’Amérique est en train de devenir un État policier ».A 73 ans, l’ex-roi des antivirus espère remporter l’investiture du parti Libertarien. Une formation politique qui prône le libre-échange et une intervention de l’Etat réduite au minimum. L’homme avait déjà tenté le coup en 2016 mais c’est Gary Johnson qui avait été choisi à sa place (3,27% des voix à la présidentielle). Devenir président ? Ce n’est pas l’ambition de McAfee. « Je ne veux pas être président, je ne veux vraiment pas, et je ne pourrais pas être… vraiment, regardez-moi, lance-t-il. Je ne peux pas être président. Cependant, j’ai beaucoup d’adeptes et j’influencerai la prochaine élection ». « Je ne mène pas une campagne ordinaire, je suis recherché comme criminel par le gouvernement pour lequel je suis candidat à la présidence. Eh bien, c’est inhabituel » raconte le fantasque septuagénaire. « Je suis d’abord allé aux Bahamas car j’étais poursuivi pour évasion fiscale, je n’ai pas payé d’impôts depuis huit ans ».Voilà pourquoi l’homme est aujourd’hui en fuite à Cuba, du moins c’est ce qu’il prétend.

 

Car il n’est pas évident de savoir ce qui vrai et ce qui est faux. Une chose est certaine en tout cas. Le simple fait de venir à Cuba avec son yacht fait de lui un hors-la-loi aux yeux des Etats-Unis puisqu’il enfreint les nouvelles régulations américaines. Il est aujourd’hui interdit, pour un citoyen américain, de voyager vers Cuba en croisière ou bateau privé.John McAfee se positionne aujourd’hui comme proche l’île communiste. « Je suis probablement le meilleur ami que Cuba a actuellement », dit-il. « Je ne sais rien du communisme mais je sais que nous ne devrions pas interférer avec Cuba, nous ne devrions pas bloquer ce pays ».Il ajoute qu’il a proposé ses services au gouvernement cubain pour contourner les sanctions américaines grâce aux cryptomonnaies… « Je sais exactement ce qu’il faut faire explique l’homme à Reuters. Il serait facile de contourner l’embargo du gouvernement américain grâce à l’utilisation d’un système de cryptomonnaies. J’ai donc formellement proposé d’offrir mon aide gratuitement s’ils ont besoin de moi ».Il espère en tout cas ne pas être un jour extradé vers les Etats-Unis par les autorités cubaines. « Cuba n’a jamais extradé un citoyen américain et Cuba n’est pas exactement un ami du gouvernement américain »,conclut-il.En 2009, John McAfee a élu domicile au Belize, un petit Etat d’Amérique centrale frontalier du Mexique. Mais en 2012, tout bascule. L’homme est soupçonné par les autorités du Belize d’être lié au meurtre de son voisin, un ressortissant américain. Pour échapper aux policiers locaux, il fuit vers le Guatemala. Cette cavale rocambolesque tient les médias en haleine pendant un mois. John McAfee accusait la police du Belize de vouloir le tuer parce qu’il avait cessé de financer les campagnes locales. Le Premier ministre du Belize de l’époque qualifie alors John McAfee de « fou » et de « paranoïaque ».Son yacht installé depuis quelques semaines à La Havane s’appelle « The great mystery » (Le grand mystère). Un titre qui n’est certainement pas choisi au hasard tant l’homme est énigmatique. En 2013, les internautes le découvrent dans une vidéo surréaliste. Entouré de femmes plutôt dévêtues, il explique comment désactiver le logiciel McAfee.Le film, qui se termine sur une image de lui, torse nu et tatoué, pistolet en bandoulière, sera visionné neuf millions de fois. En 2015, il est arrêté aux Etats-Unis pour conduite sous l’emprise de stupéfiants, puis se fait à nouveau discret dans les médias. Aujourd’hui, John McAfee ressort du bois pour médiatiser son ambition d’influencer l’élection présidentielle de 2020 »

 

«Le Venezuela inquiète les Nations Unie »,voici ce que Benjamin Delille est allé chercher comme information à Venezuela dans ce pays d’Amérique centrale, publiée en revanche par la RTBF depuis le samedi 06 juillet 2019 où l’on apprend qu’un : «rapport de l'ONU pointe du doigt les agissements du gouvernement.Il est accusé de ne pas respecter les libertés fondamentales comme la liberté d'opinion. Un rapport qui était au cœur des rassemblements organisés hier pour la fête nationale. L'opposition a manifesté pour et les pro-gouvernement contre.A Caracas, aux abords de l’avenue Los Proceres, une foule tout de rouge vêtue se presse pour observer le défilé militaire. Dans le ciel, des avions de chasses et des hélicoptères de combat se succèdent. Malgré la fête et les tambours, Olga n’a toujours pas digéré le rapport de l’ONU qui s’inquiète notamment du nombre abusif d’exécutions extrajudiciaires au Venezuela. Près de 5300 en 2018. « L’ONU n’est pas indépendante, l’ONU est malheureusement totalement biaisée. Ils ont reproduit un rapport écrit par la droite. On ne peut pas dire que la bavure individuelle de quelques policiers détermine la ligne politique du gouvernement ! Non ! Ce gouvernement est humaniste ! Il s’agit de cas isolés. » Ce qui choque le plus Alexander, qui porte un T-Shirt siglé Maduro, c’est que le rapport attribue la responsabilité de la crise économique au gouvernement ». On ne peut accuser ce gouvernement d’être coupable de tout alors qu’il a essayé de trouver des solutions, sans succès. Dans un pays bloqué économiquement, bloqué financièrement, comment fait-on ? Aucun pays ne peut faire affaire avec nous sinon il sera aussi sanctionné par les États-Unis ! « Sur ce point, le rapport indique que les sanctions ont certes aggravé la crise, mais qu’elles n’en sont pas la cause. Mais pour les chavistes, le blocage des États-Unis a commencé dans l’ombre, bien avant l’annonce des sanctions ».

Sélection et commentaire de la Rédaction

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