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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Courriers positifs : Ce qu’il faut retenir

Ce qu’il faut retenir comme leçon de morale après la lecture de ces cinq articles ci-dessous sélectionnés par la Rédaction grâce à nos confrères de la RTBF, ceux de l’Agence Belga et de l’AFP, c’est qu’il existe bel et bien dans ce monde ceux qui n’avancent plus ou reculent quotidiennement. Et un autre groupe d’êtres humains constitués de ceux-là qui font progresser positivement le monde grâce à leur dur labeur qu’ils mettent nuit et jour au profit de la planète terre. Marcel Jouhandeau ne donna-t-il pas ce conseil quand il affirmait : «Ne pesez pas l’œuvre avant que la journée soit finie et le labeur achevé ». Et pour Victor Hugo dans les Misérables : «La pensée est le labeur de l’intelligence, la rêverie en est la volupté ». Pour sa part, un proverbe italien mondialement connu stipule que : «Le jour est le père du labeur et la nuit est la mère des pensées ». Et Victor Hugo de conclure cette partie en disant dans son même roman les Misérables : «Ce n’est pas la récompense qui élève l’âme, mais le labeur qui lui valut cette récompense ». Ceci revient ainsi à citer intégralement de façon définitive  le fort message  de  l'Apôtre Saint Paul à ses collaborateurs de la Thessalonique dans 2 Thessaloniciens 3, 10-11 dans le Nouveau Testament : «Ce n'est pas que nous n'en eussions le droit, mais nous avons voulu vous donner en nous-mêmes un modèle à imiter. Car lorsque nous étions chez vous, nous vous disions expressément : si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus. Nous apprenons, cependant, qu'il y en a parmi vous quelques-uns qui vivent dans le désordre, qui ne travaillent pas, mais qui s'occupent de futilités.…». C’est donc bien suffisant de comprendre qu’il faut écrire pour des obligations d’intérêts collectifs une vraie page de son histoire, voire tenter courageusement de ne réaliser que des œuvres positives là où notre destin nous oriente, selon certes les moyens dont on dispose. Façon assez simple et efficace de contredire la vision nuisible de ceux-là qui se transforment en acteurs destructeurs de notre trésor ou grenier commun qui est la planète terre.

 

«Plusieurs universités belges dans le top 100 mondial». Information venant de la part de S.B et P.V grâce à la publication de la RTBF d’hier jeudi 15 août 2019, mettant en valeur la qualité des Universités belges. Selon donc ce média belge qui est la RTBF avec bien sûr la participation de S.B et P.V : «Le classement de Shanghai vient de sortir, et avec lui, une bonne nouvelle : plusieurs universités belges figurent parmi les cent meilleures au monde. Le classement, très attendu par le monde académique même si fort critiqué, place notamment Gand à la 66e place, mais également Leuven à la 85e place. L’UCLouvain et l’ULB viennent ensuite entre la 100e et la 150e place. Une bonne nouvelle selon Yvon Englert, recteur de l’ULB : « les universités belges, malgré leur sous-financement, sont des universités de très bonne qualité, qui se classent très haut dans un ranking des 1000 meilleures universités du monde, alors que sur notre planète, il doit y avoir 10.000 à 20.000 universités ».Malgré l’enthousiasme, les recteurs belges restent critiques. Les critères pour établir ce genre de classement : le nombre de prix Nobel, le nombre de publications dans des revues scientifiques, les chercheurs les plus cités dans leur domaine. Pas suffisant, pour Yvon Englert : « Ce sont des classements essentiellement basés sur des critères corrélés au financement. Or, les universités doivent être classées non seulement par leur financement et leurs capacités, mais aussi leurs missions d’éducation et sociétale, qui ne sont absolument pas prises en compte ».Comme chaque année, des universités anglo-saxonnes trustent le sommet du classement : Harvard et Stanford aux Etats-Unis, Cambrige au Royaume-Uni forment le top 3 ».

«Le trafiquant d'armes Jacques Monsieur arrêté au Portugal», information signée P.V pour le compte de la RTBF. Racontant donc que : «La police fédérale belge a annoncé jeudi 15 août 2019, l’arrestation, la veille, du trafiquant d’armes Jacques Monsieur, à Herdade do Jambujal, au Portugal. Condamné à quatre ans d’emprisonnement en 2018, le criminel de 66 ans était toujours en fuite. Selon les forces de l’ordre, il a été repéré à cause de sa passion des chevaux. «Le mois dernier, il est apparu que 9 chevaux ont été emmenés au Portugal par un éleveur français, explique la police. La piste de transport des chevaux a été très utile pour les enquêteurs du FAST [Fugitive Active Search Team, le service de recherche des fugitifs] ».Le trafiquant a été retrouvé dans un abri secret, à côté de ses écuries. En octobre 2018, Jacques Monsieur avait été condamné à quatre ans de prison et 1.200.000 euros d’amende pour trafic illicite d’armes et participation à une organisation criminelle. Il restait en fuite depuis lors et avait été signalé au niveau international. Récemment, la police avait retrouvé sa trace à Tarascon, dans le Sud de la France, où il avait un mas, qu’il avait revendu en mars dernier. Le parquet fédéral a émis un mandat d’arrêt européen et demande la remise du fugitif à la Belgique».

«Du rat en brochette, une collation de plus en plus populaire sur les routes du Cambodge», titre qui s’affiche parmi les publications de la RTBF d’hier jeudi 15 août le jour de la fête de Marie la mère de Jésus, mais portant la signature de l’AFP. En effet, selon l’AFP et la RTBF : «près de Battambang au Cambodge, des dizaines de rats des champs, agrémentés d'épices, grillent lentement sur des charbons ardents pour le plus grand bonheur des locaux séduits par cette collation peu onéreuse. Quand, il y a plus de dix ans, Ma Lis a ouvert son stand sur le bord de la route à une dizaine de kilomètres de cette petite ville rurale de l'ouest du pays, elle vendait quelques kilos de rats par jour. Aujourd’hui, on lui en achète une vingtaine, l'équivalent d'une soixantaine de gros rongeurs. Et, pendant le Nouvel An, en avril, ou le festival de l'eau à l'automne, elle peut en écouler 60 kilos quotidiennement. « Ces rats sont en meilleure santé que le porc et le poulet (...) Ils se nourrissent de racines de lotus et de grains de riz », explique-t-elle en retournant la viande sur le barbecue. Chaque brochette est vendue entre 0,25 dollar et 1,25 dollar, selon la taille de l'animal. Les rats, véritables fléaux pour les cultures, sont chassés dans les rizières aux alentours. Chaque après-midi, Chuom Choen, accompagné d'autres chasseurs, pose des pièges en bambou dans des champs de riz à une quinzaine de kilomètres de chez lui. La nuit, il inspecte les appâts, une lampe torche vissée sur le front, et part au petit matin proposer ses prises aux vendeurs locaux. « Quand j'ai de la chance, j'attrape 5 kilos de rats par nuit », raconte-t-il, expliquant que ce travail lui rapporte entre 5 et 17,5 dollars par jour. « Les propriétaires des rizières sont heureux qu'on chasse ces rongeurs car ils mangent tout leur riz » et causent d'importantes pertes agricoles. Sous le régime khmer rouge (1975-1979), les rats étaient recherchés, considérés au même titre que les grenouilles, les tarentules ou les insectes comme un moyen de survie dans un pays soumis à la disette. Délaissés après la chute du régime ultra-maoïste, ils sont redevenus au goût du jour aujourd'hui. «C'est délicieux. C'est comme du poulet ou du bœuf », relève un client, Yit Sarin, en buvant une gorgée de bière ».

 

« Assomption : pourquoi sommes-nous en congé le 15 août», question posée par la journaliste Sarah Heinderyckx pour le compte de la RTBF depuis mercredi 14 août 2019.Abordant à sa manière ce sujet, notre consœur de la RTBF Sarah Heinderyckx que : «Le 15 août est un des dix jours fériés légaux en Belgique. Comme pour la grande majorité d’entre eux, il s’agit d’une fête religieuse. Pour les Chrétiens, le 15 août représente en effet l’Assomption, la montée au ciel de la Vierge Marie. Comme l’explique le père Laurent de Villeroché, les premiers Chrétiens ont très vite tenu à célébrer les derniers moments de la mère de Jésus. Plus précisément, le 15 août célèbre à la fois la mort, la résurrection, l’entrée au paradis et le couronnement de la Vierge Marie. On associe souvent l’Assomption de Marie à l’Ascension du Christ, une autre fête chrétienne célébrée le sixième jeudi après Pâques, un autre jour férié chez nous. Les mots sont similaires et évoquent tous deux la montée au ciel dans la gloire de Dieu. Il ne s’agit pourtant pas tout à fait du même évènement. Laurent de Villeroché rappelle qu’assomption ne vient pas du verbe latin ascendere (monter, s’élever), mais bien du verbe assumere (assumer, enlever). « L'’étymologie souligne l’initiative divine : Marie ne s’élève pas toute seule vers le ciel, c’est Dieu qui fait le choix de l’assumer, corps et âme, en la réunissant à son Fils sans attendre la résurrection finale, tant elle a su s’unir, corps et âme, à Lui dès sa vie terrestre », explique le prêtre français».

«Au Mexique, un « arbre » artificiel combat la pollution», une bonne nouvelle lancée dans un article signé l’AFP, mais publié jeudi 15 août 2019, où justement ces deux médias racontent : «qu’au Mexique, pays dont la capitale connaît régulièrement des pics d'ozone et de microparticules, un « arbre » artificiel absorbe la pollution et, grâce à l'action de microalgues situées à l'intérieur, purifie l'air. »Inhale la pollution et (fonctionne ensuite avec) un processus biologique à l'image d'un (véritable) arbre », explique à l'AFP Jaime Ferrer, co-fondateur de Biomitech, à l'origine de ce projet. Baptisée « Biourban », cette structure métallique de 4 mètres, faite de cylindres empilés, reproduit le processus de photosynthèse d'un arbre 365 jours par an. Les « arbres » métalliques sont un complément à la nature, explique Jaime Ferrer, car ils peuvent être placés dans des zones à forte densité urbaine, difficiles à reboiser. Ils peuvent être situés « dans des lieux de forte affluence (où se croisent) des piétons, des véhicules, des vélos et des transports en commun et où il n'est pas possible de planter un hectare d'arbres », déclare-t-il. Le premier « arbre » a été installé à Puebla, une des principales villes du Mexique, dans une zone de ce type, à proximité d'une université. « C'est intéressant que ce soit la technologie qui viennent en aide à l'environnement, car désormais c'est urgent », juge Maria José Negrete, une étudiante de 21 ans. L’entreprise, dont chaque « Biourban » vaut quelque 50.000 dollars (44.800 euros) généralement payés par les municipalités, doit en installer prochainement à Monterrey, dans le nord du Mexique, et au cœur de la gigantesque capitale de quelque 20 millions d'habitants, Mexico. Cette entreprise créée en 2016 assure que chacun de ces dispositifs équivaut à 368 vrais arbres. « Ce système ne prétend pas en finir avec la pollution de la ville de Mexico, il vient en soutien, pour remédier au problème de pollution des intersections ou des sites de grande affluence », précise Jaime Ferrer. La ville de Mexico est souvent sujette aux pics de pollution, la dissipation des gaz polluants étant compliquée par la chaîne de montagnes qui l'entoure. Deux de leurs « arbres » artificiels ont déjà été installés en Turquie, un autre en Colombie et au Panama. En 2015, la start-up allemande Green city solutions avait lancé « City Tree », une solution équivalente: un mur végétal qui purifie l'air à l'aide de mousse végétale ».

Ahmat Zéïdane Bichara

 

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