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REGARDS D'AFRICAINS DE FRANCE

Informer sans travestir ni déformer, c'est notre combat !

Tchad Plus : Ce que disent et font les Tchadiens

Sur l’espace Facebook de Khalid Daoud,  on y trouve parmi ses écrits publiés depuis hier mercredi 08 août 2019, l’analyse politique de monsieur Mahamat Nour Ahmed Ibedou  en tant que secrétaire général de la C.T.D.D.H avec comme titre : «Une responsabilité à assumer» : Ainsi juge-t-il à sa manière la vie politique de son pays le Tchad : «La situation socio- politique dans notre pays est bloquée ; tous les tchadiens même ceux du MPS et les plus proches courtisans d'Idriss Deby le reconnaissent en privé. La machine à force de gouvernance et de gestion tribale et clanique, d'approximation, d'amateurisme, de médiocrité et d'exclusion à outrances a lâché; elle ne fonctionne plus; essayer de la réparer en changeant quelques pièces ne suffit plus; il faut nécessairement changer le moteur tout entier. Ce constat est fait par les bailleurs et autres partenaires du pays dont certains N'hésitent plus à proposer des solutions de sortie de crise et essayer ainsi de recoller les morceaux. Pendant ce temps, le gouvernement français qui a opté résolument pour un soutien inconditionnel à Idriss Deby au point d'agacer ses alliés européens et américains continue à tenir à bout de bras le système du tyran. Nous avons longtemps essayé de comprendre ces relations incestueuses mais nous pensons qu’elles ne peuvent s'expliquer que par une convergence d'intérêts particuliers, d'un système de réseautage, et d'appartenance à des loges maçonniques etc.

En somme la France-Afrique. C'est ce système conçu par le gouvernement français pour perpétuer le mécanisme des colonies au lendemain des indépendances qui maintient Idriss Deby au pouvoir. Le vrai bourreau du peuple tchadien et de beaucoup de peuples africains francophones est bel et bien le gouvernement français. Nous le dénonçons ici parce qu'il est temps de designer le vrai coupable de nos malheurs tant au Tchad qu'en Afrique. Deby et les autres chefs d'État Africains francophone ne sont que des « Sous-préfets chargés de veiller à la bonne marché des intérêts français dans une Afrique exploitée à outrance ». Selon une déclaration du très respecté activiste ivoirien Mamadou Konaré. D’un autre côté, nous disons que le monde est régi par les intérêts et nos intérêts à nous les tchadiens, c'est nous qui les garantirons pas une puissance extérieur moins encore un de ses supplétifs installé à la tête de notre état., Le contexte actuel de blocage nous interpelle tous et les élites en particulier doivent se faire un devoir de ne plus continuer à laisser Mr Deby dilapider les richesses communes et de détruire le patrimoine commun en toute impunité; c'est pourquoi des cadres tchadiens conscients de l'état de délabrement actuel de notre pays ont décidé d'organiser un dialogue inclusif dans un cadre neutre afin de diagnostiquer les maux qui minent notre pays et de poser les jalons pour des solutions définitives à notre situation actuelle. Tous, nous devons organiser ce forum qui aura le mérite d'être le plus inclusif possible. Les forces vives de l'intérieur, les représentants de la diaspora, et ceux du pouvoir en place ainsi que les opposants armés, tout le monde doit être au rendez-vous. il n'est plus question de laisser le monopole de la gestion de nos affaires à un individu responsables de graves violations des Droits de l'Homme et de nos droits économiques depuis presque 30 ans et surtout ne plus le laisser s'amuser avec notre avenir. Il est temps d'agir pour éviter un suicide Collectif ».

Le jeudi 1er août 2019, le Coordinateur National du Programme de Lutte contre le Paludisme au Tchad Docteur Djiddi Ali Sougoudi a titré son Coup de Badangaï 622 : « Tchad, pays de l’impréparation et de la procrastination ! ».Ainsi, croit-il ce médecin de son état  qu’au : «Tchad tout se décide au dernier moment et de ce fait, l’impréparation est grande, indue et gâte tout. Les Tchadiens sont des procrastinateurs : ils remettent toujours à demain ce qu’ils peuvent faire à l’ instant où aujourd’hui! Cette procrastination est insoutenable quand il s’agit de traiter les dossiers d’une gestion publique d’un pays qui court pour son développement impréparation et procrastination, deux vices tchadiens qui plombent le développement du pays! »

Il y a de cela quelques jours, circule sur le net une réaction de l'enseignant chercheur Gondeu Ladiba, largement partagée par ses compatriotes Tchadiens : « Je réfléchis à haute voix. Et je vais peut-être choquer. C'est quoi les écueils des alliances stratégiques et objectives au Tchad? C'est une question qui m'obsède. Autrement dit: où va la vie politique tchadienne ? Depuis 1996 à aujourd'hui par exemple. Tout devient banal et nous en sommes tous des témoins obligés et cela insidieusement. De mon point de vue la faute revient en premier à celui qui a inventé la catégorie dite « alliée ». C'est quoi ça! Je parle surtout des alliés objectifs et stratégies du parti au pouvoir. C'est une catégorie à enterrer, parce qu'elle appauvrit la vie politique tchadienne, en la rendant terne, sans mordant, courue d'avance, bref insipide. C'est un truc pour des escrocs, des godillots, des ramassis de paresseux, ne voulant prendre aucun risque et profitant gracieusement de l'effort collectif. C'est cette catégorie qui dénature la fonction du politique au Tchad et donne la voie à bien des délinquants, de malappris, de renégats, avec des phrasés d'enfants gâtés, « conçus en plein sieste », comme l'écrit l'autre. C'est quoi ça ? Celui qui assume une responsabilité publique est avant tout un éducateur. Mais pour éduquer, il faut être soi-même éduqué. Celui qui a inventé le concept des « alliés » au Tchad, à vrai dire, est un criminel, un traître à la Nation. Si ailleurs on s'allie pour représenter une certaine force sur le terrain, chez nous on s'allie pour grossir le nombre, faire de la figuration, donner du change aux impostures... C'est quoi ça? C'est définitif, les alliés sont la cause de la pauvreté du débat politique dans notre pays. Oui la politique chez nous est d'une pâleur massacrante. A titre d'exemple : ailleurs, tout acte public du chef de l'État fait objet de débats détaillés et contradictoires, chacun y va de sa science, de son analyse. Les positions d'intellectuels organiques sont clairement exprimées, tout comme celles des opposants. Rarement les gens ne s'agrippent derrière de pitreries de types « allié », qui cachant des défaillances bien souvent. Enfin, je me dis: Un allié n'est plus un opposant. Quand on crée un parti c'est pour porter soi-même ou aux côtés des autres un projet de société. Celui qui crée un parti et perd la vision stratégique de le voir un jour hisser au sommet de l'État, en se diluant dans un parti plus grand qui l'infantilise, tout simplement parce qu'il est un allié alimentaire, de circonstance qui dure, mérite-t-il encore de se dire de l'opposition? Arrêtons de dénigrer l'opposition. Même si elle n'est plus l'expression d'un contrepoids politique, ce n'est pas une raison pour la considérer comme un repère de pestiférés! Dans le même élan, je ne comprends pas qu'un opposant, parce qu'allié du pouvoir, se considère comme un opposant de circonstance et voue aux gémonies ses anciens amis. Un peu de réveil là-dedans. Voilà, j'ai dit! »

Monsieur Don Ebert eut fait depuis le mercredi 23 juillet 2019 l’éloge de l’écrivaine Clarisse Nomaye : «On ne sait qui de l'écrivain, de la femme libre, de l'avocat ou du personnage fascine le plus...Ce qui est sûr, c'est que Clarisse Nomaye brille autant par ses écrits que par sa vie pleine d'humilité et d'inspiration...Et pourtant, c'est dans ce pays où, en littérature, comme dans de nombreux domaines artistiques, où la vision qui prévaut est que les femmes sont des imitatrices et des épigones qu'elle excelle...Oui, il faut dire que la question de la place de la femme dans l'histoire littéraire n'est pas des plus aisées à appréhender au pays de Toumai...Pour preuve, quelle que soit l'histoire littéraire que vous consultiez, vous serez frappé du peu de noms de femmes qui y figurent...Le rôle central qu'elles occupent dans la littérature est finalement trop souvent celui de l'objet, de la muse ou de la lectrice...Cela tient, enfin je pense, et objectivement, à un aspect culturel longtemps dominant : celui qui visait à asseoir la supériorité masculine et à reléguer la femme à des domaines fermés : le foyer, la famille, les bonnes manières et la coquetterie...C'est d'ailleurs là que me vient, par exemple, l'image soigneusement entretenue de la Précieuse, dont Molière s'est fait l'un des meilleurs peintres...À l'ombre et en marge d'une discipline majoritairement masculine au Tchad, c'est Me Clarise Nomaye, et les quelques rares femmes qui nous inspirent et nous orientent jusqu'à faire briller notre cher pays à l'international que je mets en lumière aujourd'hui...Histoire de nous rappeler que parfois, une femme de culture comme Clarisse Nomaye n'a pas tant que ça à envier à un Lamartine, un Baudelaire ou un Balzac... C'est pour moi Madame de La Fayette !!!Bravo à toi, Yaya, grande sœur et maman ! »

On dirait une provocation, l’économiste et analyste politique eut publié hier mercredi 08 août 2019 une observation politique : «Je demande aux néo théoriciens, adeptes de nordiste, sudiste de m’expliquer ce concept ? Où se trouve leur territoire, langue… ?»

Le débat est bien lancé

Kebir Mahamat Abdoulaye : «Chère sœur et chère compatriote Mamadjibeye. De Nako, je t'invite à lire mon analyse suivante qui peut j'espère, démonter ton concept figé, chimère...: Du point de vue géographique, un nordiste c'est un habitant du Nord d'un pays ! Dans l'histoire politique, le terme a été utilisé lors de la guerre de sécession aux Etats-Unis. C'est un courant politique et non confessionnel, racial....qui est favorable à certaines causes et revendications politiques menées par les États du Nord des États- Unis. Alors au Tchad, ce terme désigne quoi ? Un habitant du Nord du Tchad ou bien tout musulman du Tchad est considéré nordiste ? Or s'il faut prendre au sens confessionnel, les musulmans du Tchad dans leur majorité malgré leurs hétérogénéités ethniques, linguistiques, culturelles....et antagonismes, conflits ... vivent au centre, Ouest et Sud du pays et non au Nord du pays. Mêmes réalités pour les sudistes et en outre tous ne sont pas de confession chrétienne, il existe des animistes, païens, athés. Ce qui ne constitue pas un groupe homogène ! Si le terme nordiste ou sudiste se rapporte sur un groupe ethnique, alors il n'existe pas une homogénéité car, il existe plusieurs groupes ethniques et chacune avec sa langue, ses faits culturels, traditionnels, son histoire....Par conséquent il n'existe aucune homogénéité ! Enfin si ce terme signifie une couleur de peau, or au Tchad nous avons plusieurs couleurs de peau. Au sens politique pour regrouper et mélanger toutes ces diverses réalités parfois antagonistes pour désigner un groupe homogène dans son organisation, fonctionnement, vit en harmonie, défend les intérêts de ses membres pour bâtir un Etat prospère dans un vivre ensemble dans la paix, la stabilité... Cela n'existe pas. C'est une utopie, chimère, un mythe. Les différentes guerres, les conflits communautaires, le régime autoritaire de certains dirigeants...ont démontré le contraire ! »

Mahamat Becher Mahamat : «Abdel-Nasser Garboa je veux entendre ta conception à toi...et nous ne devions pas être prisonniers du passé... »

Mamadjibeye De Nako : «Moi j'ai la réponse avec des données scientifiques. Parle bien seulement ».

Kebir Mahamat Abdoulaye : «Mamadjibeye De Nako, pourtant tu as développé et présenté gratuitement cette idée ces derniers temps aux autres ! C’est un angle favori de tes réflexions et publications que j'aime lire même si je ne partage pas certaines de tes idées devenues beaucoup obsessionnelles !»

Mamadjibeye De Nako : «Kebir Mahamat Abdoulaye, les autres oui mais pas toi.».

Eva Souleyman : «  On ne peut effacer ce qui est ancrée profondément chez beaucoup qui se disent lésée et frustrer par le manque de développement de leurs régions. Même si les lignes bougent concrètement elles n'ont pas beaucoup changées dans la façon de voir le monde ».

Mamadjibeye De Nako : «Le sud commence à partir de Walia et finis à Mbaibokoum. Le Nord commence à N’Djamena et fini à Aouzou. La langue du Nord est l'arabe local et les autres dialectes. La langue du sud est le Ngambaye et les autres langues du comme Massa, Natcherer, Lele et Sara ».

Mbodou Ali Mahamat : «Le problème du Tchad est alimenté par l'hypocrisie. Tellement d'hypocrisie que personne n'écoute les honnêtes citoyens».

Ali Sgr Dicko : «Deby aurait pu choisir la dictature pure pour nous gouverner que d'offrir une démocratie inique où des individus se prétendant scissionnistes, sans connaître leur propre terroir où l'hégémonie et l'animosité pendantes, se narguent la toile. Qu'ils soient chrétiens ou musulmans, ceux-ci ou celles-ci, seraient forcément des bâtard (e)s, excusez le terme !»

Mamadjibeye De Nako : «C'est de la consultance .il faut payer d'abord… »

Nour Hakoumi : «  Leur territoire c'est leurs villages et leurs langues c'est leurs dialectes.»

Kebir Mahamat Abdoulaye : «Nour Hakoumi, et bien voilà, il n'existe pratiquement aucune homogénéité entre les différents groupes ethniques en dehors qu'ils vivent sur un territoire appelé Tchad, au contraire, ils ont des différences énormes sur plusieurs plans et même des antagonismes importants pour certains entre eux ! C'est une explication hybride sans cohérence ! »

Nour Hakoumi : «  Kebir Mahamat Abdoulaye, je ne vous comprends pas du tout... pouvez vous être plus explicite svp? »

Kebir Mahamat Abdoulaye : «Nour Hakoumi, du point de vue géographique, un nordiste c'est un habitant du Nord d'un pays ! Dans l'histoire politique, le terme a été utilisé lors de la guerre de sécession aux Etats-Unis. C'est un courant politique et non confessionnel, racial....qui est favorable à certaines causes et revendications politiques menées par les États du Nord des États- Unis. Alors au Tchad, ce terme désigne quoi ? Un habitant du Nord du Tchad ou bien tout musulman du Tchad est considéré nordiste ? Or s'il faut prendre au sens confessionnel, les musulmans du Tchad dans leur majorité malgré leurs hétérogénéités ethniques, linguistiques, culturelles....et antagonismes, conflits ... vivent au centre, Ouest et Sud du pays et non au Nord du pays. Mêmes réalités pour les sudistes et en outre tous ne sont pas de confession chrétienne, il existe des animistes, païens, athés. Ce qui ne constitue pas un groupe homogène ! Si le terme nordiste ou sudiste se rapporte sur un groupe ethnique, alors il n'existe pas une homogénéité car, il existe plusieurs groupes ethniques et chacune avec sa langue, ses faits culturels, traditionnels, son histoire....Par conséquent il n'existe aucune homogénéité ! Enfin si ce terme signifie une couleur de peau, or au Tchad nous avons plusieurs couleurs de peau. Au sens politique pour regrouper et mélanger toutes ces diverses réalités parfois antagonistes pour désigner un groupe homogène dans son organisation, fonctionnement, vit en harmonie, défend les intérêts de ses membres pour bâtir un Etat prospère dans un vivre ensemble dans la paix, la stabilité... Cela n'existe pas. C'est une utopie, chimère, un mythe. Les différentes guerres, les conflits communautaires, le régime autoritaire de certains dirigeants...ont démontré le contraire !»

Tom Ibn Cherif Beriao : «  Nour Hakoumi, moi non plus, je n'ai rien compris.

Masbaye Maestro Noubadoum : « Il vaut mieux ne pas s'attarder sur ces inepties. En parler c'est même donner de l'importance ».

Kebir Mahamat Abdoulaye : «Cher frère Masbaye Maestro Noubadoum, hélas après les anciens théoriciens de cette grande manipulation, de nouveaux théoriciens, adeptes apparaissent pour manipuler les esprits. D'où il faut discuter avec eux !»

Masbaye Maestro Noubadoum : «Kebir Mahamat Abdoulaye, il faut les uns et les autres mettent à jour leur logiciel mental. Le Tchad d'aujourd’hui n'est plus celui d'hier. Et demain sera encore différent».

Kebir Mahamat Abdoulaye : «Masbaye Maestro Noubadoum, même les anciens théoriciens et adeptes font profil bas et n'utilisent pas ce concept dans leurs discours officiels, publics, aussi dans leur mouvement politique, ces appellations n'existent pas comme dans les années 50, 60,70, 80 !Aujourd'hui les mentalités ont changé, les réalités sociopolitiques ont évolué, le niveau d'instruction des tchadiens a progressé, le monde a évolué, les nouvelles technologies façonnent les modes de vie, les esprits....et la manipulation de la masse à grande échelle n'existe pas...!»

Haroun Ibn Mahamat : «Ta question est pertinente cher Kebir Mahamat Abdoulaye, mais sans te mentir tout se résume au niveau de leurs claviers facilement maniables sinon le fond est vide »

Mahamat Tahir Khazine Khazine : «Bonjour Kébir les termes nord et sud c'est ne sont que des noms d’horizons (points cardinaux) pour designer un endroit du globe terrestre ou vivent les créatures de Dieu. Donc c'est ne sont pas des signes des différences comme le croit l'homme ».

Abdallah Hissein Abakar Arim : «Les gens parlent de développement, la création industrielle et technologique pour concurrencer les autres Etats. Mais hélas, nous sommes encore sur les concepts ethniques, religions, régionaux... Monsieur Kebir votre question est très importante. J’attends les commentaires des adeptes pour mieux prendre connaissance ».

Beyer Soumaye : «Ce sont des concepts forgés pour attiser la division et la haine. Tant que nous ne cesserons pas de penser en termes de cousin, oncle, tante, etc... Nous ne pourrons jamais former une nation tchadienne. Je refuse d'employer ces mots dans mon vocabulaire ».

Tom Ibn Cherif Beriao : « Beyer Soumaye, la question sur le lien de parenté ne se pose pas comme obstacle normalement. Même sous d'autres cieux ces valeurs existent mais ici, c'est le problème de l'appartenance à des endroits localisés qu'il faut combattre à tout prix. Nous sommes tous des Tchadiens frère et sœurs ».

Beyer Soumaye : «Tom Ibn Cherif Beriao, je suis d'accord avec toi mais le vrai problème du Tchad c'est celui-là. Nous nous regardons comme ennemis. Celui-ci est du Nord, celui-là est du sud. Il nous appartient en tant nouvelle génération de conscientiser les tchadiens afin d'être fort et unis pour voir vers une même direction. Jeunes debout et à l'ouvrage ».

La Rédaction

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