12 Mai 2009
Le problème de la dépendance des chefs d'états africains ne datent pas d'aujourd'hui. Juste après les indépendances africaines, tous les présidents dont leurs pays ont été colonisé par la France ont été aussitôt soummis à un certain nombre des règles à respecter scrupuleusement s'ils veulent se maintenir au pouvoir. Ce qui fait que l'Afrique francophone contrairement, à celle qui est dite anglophone, n'est indépendante que sur le papier, mais en réalité la colonisation est restée intacte. Elle est psychologique et financière.
Quelque soit son niveau intellectuel, 'homme noir francophone est toujours vu par les ressortissants français comme un sous-homme ou tout bonhonnement comme un"petit garçon" dont on doit toujours surveiller de peur qu'il se fasse mal.
Les écrivains noirs d'Afrique et des Antilles ont toujours eu à dénoncer grâce à leurs plumes respectives certaines considérations néfastes de la France politique, mais ils se sont par la suite rallier en se mariant aux françaises. Ils ont donc prêché devant une porte fermée. Aujourd'hui, rien n'a changer, les peuples d'Afrique et surtout francophones sont gérés comme une marchandise dans la mesure où aucun de leurs chefs d'états n'osent dire non aux autorités françaises.